administration@leplacoteux.com  | 418 492-2706

  • Annoncer sur notre site
  • Emplois
  • À propos
  • Nous joindre
  • Actualités
  • Sports
  • Culturel
  • Économie
  • Chroniques
  • Nécrologie
  • Petites annonces
  • Journal
Journal Le Placoteux
  • Actualités
  • Sports
  • Culturel
  • Chroniques
  • Journaux
  • Nécrologie
  • Emplois
  • À propos
  • Nous joindre
  • Concours

Bras d’Apic, un lac, une rivière, un hameau et…

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 28 février 2021 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Potiers et poteries de la Côte-du-Sud

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 14 février 2021 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Les débuts du hockey sur la Côte-du-Sud

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 31 janvier 2021 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Lieux de mémoire, les hameaux du Kamouraska

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 20 décembre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Lieu de mémoire, le moulin Paradis à Kamouraska

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 06 décembre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Les moulins à eau et à farine font partie du paysage de la Côte-du-Sud depuis l’ouverture des seigneuries. Mais après l’abolition du régime seigneurial, les marchands y voient une opportunité pour le commerce.

C’est le cas d’Édouard Pelletier qui est aussi navigateur et gardien de phare à Saint-Roch-des-Aulnaies. Celui-ci fait l’acquisition en 1860 d’un moulin construit en bordure de la rivière Kamouraska au sud du village. Il embauche le charpentier Marcel Lebret dit Saint-Amant pour faire certains travaux qui comprennent la construction d’une dalle.

En raison de la crue printanière en 1862, Édouard est obligé de refaire la dalle et de rénover une partie de la bâtisse. Il demande alors au marchand général de Kamouraska Louis Miller d’entreprendre ces travaux. Les coûts pour la réparation sont onéreux. Malgré sa bonne volonté, Édouard doit renoncer à son moulin, car il est fortement endetté. La propriété sera donc mise aux enchères en 1867.

Dans les années suivantes, elle passe entre différentes mains. Le ferblantier de Kamouraska Ignace Michaud l’achète en 1873. Celui-ci aurait fait construire la petite forge que l’on voit encore sur le site aujourd’hui. En 1878, coup de théâtre, Edouard Mercier redevient propriétaire de l’ensemble à la suite d’un jugement de la Cour supérieure de Kamouraska. Il le conserve jusqu’en 1889. Cette année-là, le meunier de Saint-Aubert Cyprien Bélanger en fait l’acquisition. Le moulin passe aux mains de Léon Chouinard en 1891 et de Jean-Baptiste et Alphonse Paradis en 1895. Deux ans plus tard, devenant le seul propriétaire, Jean-Baptiste s’installe dans l’est de la bâtisse avec sa famille. Cette famille possèdera le moulin durant trois générations. Malgré les crues printanières entrainant l’inondation et des bris, le moulin Paradis est toujours debout.

Cité site patrimonial en 2012, le moulin Paradis et sa forge possèdent une grande valeur historique, architecturale et ethnologique. Il est devenu propriété du Musée régional de Kamouraska.

Une école pour devenir une bonne ménagère… à Saint-Pascal

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 22 novembre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Des roues et des brouettes, les Industries Normand

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 08 novembre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Les îles aux Loups marins, une perle dans le Saint-Laurent

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 25 octobre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Les « briquades » à L’Islet-Station, là où il y a de l’argile

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 11 octobre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire

Aux origines de… Saint-Alexandre

  • 0
Avatar
Yves Hébert
dimanche, 27 septembre 2020 / Publié dans À la une, Chroniques, Histoire
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4

491, avenue D’Anjou, Saint-Pascal, Québec G0L 3Y0

 

Tous droits réservés 2019 | Journal Le Placoteux

HAUT