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La Fondation des Archives de la Côte-du-Sud a été créée pour soutenir financièrement les Archives du même nom. Elle administre des fonds constitués grâce à la générosité de donateurs. En cette année sans pareille, la Fondation n’a pu réaliser son activité-bénéfice et est donc en pleine campagne de financement.
Faire un don à la Fondation des Archives de la Côte-du-Sud c’est assurer la pérennité du centre d’archives régionales qui offre des services spécialisés depuis déjà 30 ans. Les Archives accueillent dans ses locaux situés à La Pocatière diverses clientèles, dont les créateurs de fonds d’archives, des auteurs, des musées, des généalogistes, des chercheurs, des maisons d’édition, etc.
Les Archives de la Côte-du-Sud sont le seul centre agréé par le ministère de la Culture et des Communications sur le territoire sud-côtois. Cet agrément certifie le caractère professionnel avec lequel les documents manuscrits, les imprimés, les photos, les plans et cartes, entre autres, sont préservés et traités.
« La Fondation s’est fixé un objectif de campagne », comme le soutient la présidente, Judith Douville.
Elle et les administrateurs de la Fondation font appel à la générosité de tous les sud-côtois pour y arriver. Vous pouvez faire un don par la poste, par chèque à l’ordre de la Fondation des Archives de la Côte-du-Sud ou en vous rendant directement aux Archives au 100, 4e Avenue à La Pocatière ou en contactant tresorier.fondation@archivescotedusud.ca.
« UN PEUPLE ! Le rêve de Champlain, de Papineau et de Lévesque » est le troisième d’une trilogie de manuels pratiques sur la démocratie et la citoyenneté québécoise qui s’inspire de la pensée méconnue de René Lévesque. Pour l’auteur, il s’agit d’une réponse convaincante à tous ceux qui doutent de l’avenir du Québec comme peuple distinct.
« Du rêve d’un nouveau monde libre et tolérant de Samuel de Champlain au rêve d’une République indépendante du Canada français de Louis-Joseph Papineau puis au rêve d’un Québec démocratique et maître chez lui de René Lévesque, Roméo Bouchard nous fait faire une extraordinaire traversée dans notre histoire. Voici un livre d’histoire d’une approche radicalement différente. Captivant, intense, dynamique, le récit national de Roméo Bouchard nous fait faire une plongée au cœur de l’ADN et de l’âme politique québécoise à la découverte d’où nous venons, de qui nous sommes, où nous allons. Personne ne connaît concrètement le pays, ses régions autant que Roméo Bouchard. Un récit raconté avec toute la passion d’un grand amoureux de son pays, écrit dans une langue forte, vibrante, parfois avec humour, souvent avec poésie. Il le fait avec une profonde audace en étant le premier à conférer une ligne de continuité aux visions des trois personnages les plus importants de notre histoire politique », écrit André Larocque en préface.
Le récit national qui nous est offert ici n’a rien de l’austérité des livres d’histoire, bien qu’il soit rigoureusement appuyé sur les meilleurs historiens contemporains. Il s’agit d’une forme de l’album du peuple québécois dans lequel chacun peut se retrouver, aussi bien l’étudiant branché que le travailleur ou le militant. L’ouvrage est accessible à tous et s’ouvre sur un nouveau projet politique rassembleur pour le Québec, centré sur la souveraineté du peuple et la citoyenneté québécoise.
Un album-souvenir pour souligner les 150 ans de la paroisse de Saint-Philippe-de-Néri a été officiellement lancé le 3 décembre en présence de M. le maire Frédéric Lizotte et un nombre restreint de membres du Comité 2020.
Intitulé Échos d’un village, cet album, réalisé par une petite équipe de trois bénévoles, rappelle les grandes lignes de la fondation de la paroisse, mais est surtout un souvenir des 25 dernières années. Parsemé d’anecdotes, rempli de photos en couleur, il fait le portrait d’une communauté dynamique et riche en talents diversifiés. Le coût du volume a été fixé à 20 $.
Il sera possible de se le procurer à la Municipalité du lundi au vendredi (418 498-2744) et à la bibliothèque lors de ses heures d’ouverture le mardi soir (19 h à 20 h 30). De plus, un point de vente sera installé à l’entrée du centre municipal les samedis 12 et 19 décembre de 9 h à 12 h.


L’Association patrimoniale de Saint-Denis-De La Bouteillerie donne le coup d’envoi à sa campagne « Un nouveau toit pour la Maison Chapais ». L’objectif est d’amasser 10 000 $ afin de permettre de boucler le budget nécessaire à la restauration de la toiture en bardeau de cèdre de l’Est.
La maison, qui fêtera ses 187 ans cette année, est désignée lieu historique national et classée immeuble patrimonial. L’architecture victorienne de la Maison Chapais constitue une partie importante de l’image du village de Saint-Denis. « Le toit rouge à deux versants recourbés avec retour du larmier est l’un des éléments les plus distinctifs du bâtiment », estime Maha Farah Elmir, directrice générale de la Maison Chapais.
Les coûts totaux du projet sont estimés à 200 000 $ en raison des exigences réglementaires qui encadrent les lieux protégés. « La toiture sera restaurée en bardeau de cèdre de l’Est, tout comme à l’époque. Cela nous permettra de conserver un cachet intégral et de maintenir un savoir-faire artisan », explique Maha Farah Elmir. L’équipe de la Maison Chapais précise aussi tenir à ce que les travaux soient octroyés à une entreprise de la région.
Une grande partie du financement a été obtenu via des programmes gouvernementaux et l’Association se tourne maintenant vers la communauté du Kamouraska pour boucler le budget. Alors que la question de la préservation du patrimoine est au cœur de l’actualité avec le projet de loi 69, la campagne « Un nouveau toit pour la Maison Chapais » représente l’occasion en or de sensibiliser la communauté à la conservation du patrimoine. « La revitalisation du patrimoine ne se fait pas de soi, elle nécessite une volonté politique et sociale. Choisir de contribuer à la conservation d’un bâtiment patrimonial, c’est aussi choisir de garder vivante une histoire, une mémoire, un savoir-faire, une identité collective » , estime Maha Farah Elmir. D’autant plus que la Maison Chapais est l’attraction touristique la plus importante de sa localité. « Le simple fait de préserver cette maison contribue à l’attractivité de Saint-Denis et, par le fait même, au bien-être de sa collectivité », note Mme Nicole Généreux, présidente de l’Association.
La campagne est lancée via la plateforme Canadon en ce mardi 1er décembre dans le cadre de la journée #MardiJeDonne. Pour chaque don de 20 $ et plus fait au cours de la journée, Canadon donnera 2 $ pour le nouveau toit de la Maison Chapais.
Lien vers le formulaire de don : https://www.canadahelps.org/fr/dn/m/46844/donation.

La Salle André-Gagnon de La Pocatière s’est munie d’un nouveau piano, un Yamaha C-7 usagé de 25 000 $ ayant une grande capacité de projection ainsi qu’une qualité sonore qui convient parfaitement aux types de salles comme la Salle André-Gagnon. Il y avait une déficience précédemment à ce niveau.
« Il est vraiment parfaitement adapté. C’est la crème, c’est un piano remarquable qui ne sera pas gênant. On est content que ça puisse commencer à se parler, car l’acquisition d’un piano dans une salle comme cela, ce n’est pas rien », a dit Mathieu Rivest, enseignant au Cégep de La Pocatière.

Une autre initiative de la Corporation de la Salle André-Gagnon favorise la rencontre entre les arts vivants et la population du Kamouraska. Avec la collaboration et la complicité des municipalités d’accueil et l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, Le ciel rue de la compagnie Toxique Trottoir circulera sur le territoire du Kamouraska selon l’horaire suivant :
- Samedi 28 novembre 10 h 30 – Salle Les Générations de Saint-Onésime d’Ixworth
Samedi 28 novembre 15 h – Salle du Tricentenaire de Rivière-Ouelle
Dimanche 29 novembre 14 h – Église de Saint-Joseph-de-Kamouraska
Le port du masque, le respect de la distanciation physique, la désinfection des mains et la capacité d’accueil dictée par le palier d’alerte orange seront la règle.
Le ciel rue pourrait nous faire rêver l’œil grand ouvert. Dans un enchainement de tableaux chorégraphiés, de théâtre d’image et d’effets magiques, le spectacle revendique l’insolite. En s’inspirant de l’univers poétique et onirique des surréalistes, Le ciel rue en découd avec la raison et rend au merveilleux une présence.
Trois femmes d’une autre époque, incarnée par Marie-Hélène Côté, Muriel de Zangroniz et Dominique Marier, déambulent sur le pavé et s’abreuvent du ciel. Le récit se forge et découle de l’apparition de toute une panoplie d’éléments provenant des costumes des trois interprètes. Leurs révélations sont le moteur de nouvelles histoires, qui mettent en déroute certaines certitudes du public.
Pour réserver vos places, communiquez avec les municipalités.