Quatorze heures dans le clan Pelletier

Dimanche 13 h. Avec la précision d’une montre suisse, un texto entre sur le cellulaire. « On arrive », m’écrit Marie-Claude Morin, la grande amie de Sophie Pelletier. Une minute plus tard, la « Sophie mobile » entre dans la cour. C’est ainsi qu’on s’amuse à nommer le véhicule mis à la disposition de la famille de l’académicienne. Destination les studios Mel’s à Saint-Hubert.

Guyane Pelletier, la mère de Sophie, me cède la place en avant à côté de son ami et chauffeur pour l’occasion, Jean-Luc Saint-Onge. Premier arrêt : Saint-Jean-Port-Joli. Yannick Lavoie, « le chum de Sophie », monte à bord. Tout le monde est là.

Pendant le voyage, on parle, devinez de qui? Allons un petit effort… De Sophie, bien sûr. De sa semaine à l’Académie. De ses chances de se rendre en finale. De son talent. Et lorsque des coups de klaxon se font entendre, ce n’est pas pour réprimander une mauvaise manœuvre du conducteur, mais pour saluer la candidate dont la photo et le prénom ornent la carrosserie (courtoisie de Thibault GM de La Pocatière).