Le procès au civil de 2,5 M$ intenté par André Livernoche, de Saint-Bruno, contre le gouvernement du Québec et la Commission des libérations conditionnelles a été avorté, le 14 septembre, à sa première journée, au Palais de justice de Montréal.
Il a été reporté à une date ultérieure par manque de preuve. Le père d’Alexandre Livernoche, assassiné en 2000 par Mario Bastien, s’est présenté devant la cour sans preuve ni témoin.
Il n’a toutefois pas manqué de faire connaître son opinion sur le système judiciaire. M. Livernoche avait révoqué le mandat de son avocat afin de désigner Mme Marthe Gagnon comme procureure.