Son nom n’est pas encore très connu. Pourtant, Francis Gallant est en train de prendre sa place comme chanteur pop rock au Québec. Ses chansons tournent à la radio et l’Europe s’intéresse à lui. Un début de carrière qu’il doit à sa rencontre avec le producteur John Nathaniel.
Francis rêvait de faire de la musique depuis longtemps. Il a fait quelques concours, dont Ma Première Place des arts et le Tremplin de Dégelis. Plus tôt, à 13 ans, il avait remporté le premier prix comme interprète en participant au concours Les découvertes de la Capitale, à Québec. Puis, il perfectionne sa voix et ouvre une école de chant à Saint-Jérôme : Gala Musique. Elle ferme ses portes après cinq ans. Il est temps pour Francis de penser à sa propre carrière.
En entrevue téléphonique, Francis Gallant raconte que c’est lors du party d’anniversaire de Patrick Bourgoies qu’il a rencontré John Nathaniel. Celui-ci lui demande de lui faire parvenir un démo. Il a aimé sa voix et lui a proposé d’écrire ses propres chansons. C’est ainsi qu’est né en mars dernier le premier EP (est un format musical plus long que celui du simple, mais plus court qu’un album), Ma vie en stéréo. John, dira Francis, aura été « la bonne rencontre au bon moment. »
Des chansons tirées de son EP, par exemple Le monde s’arrête, sont bien accueillies par les radios. Si bien que Francis Gallant songe à lancer un album complet en 2015. Il sent un intérêt du côté de l’Europe et prévoit débuter une tournée de spectacles qui devrait l’amener dans la région. Possible aussi qu’on le voit bientôt à Belle et Bum, à Télé-Québec. Le 11 novembre, il participera à un spectacle-bénéfice à Lac-Mégantic.

