Le jour ou l’on obligera les enfants de riches à trouver un emploi (sans favoritisme par les liens d’amitié ou de parenté) à assumer et à payer — au même titre que les moins bien nantis de notre société — leur loyer, leurs frais de déplacement, leurs études, leurs prêts et bourses, etc, ce jour-là, ils seront égaux pendant et après leurs études. Là, il y aura équité, égalité et justice chez nos étudiants.
C’est à travers ces chemins que se perd ou se prend la vie.
Marcellin C. Després
Saint-Cyrille-de-L’Islet