Des souvenirs impérissables pour les participants au Tournoi Pascot
Le Tournoi Pascot s’est tenu en mai dernier au Centre sportif de Saint-Pascal. Plus de 600 personnes ont participé à la soirée d’ouverture officielle et les hockeyeurs ainsi que leurs proches ont fait le plein de souvenirs pour de nombreuses années. Un tournoi de hockey en mai, avec une telle température, ça ne passe pas souvent. En effet, le tournoi, qui reviendra en janvier 2023, a été repoussé en mai en raison de la COVID-19 et de la montée du variant Omicron au début 2022.
Le lac de l’Est dans les sept merveilles du Bas-Saint-Laurent
Deux organismes environnementaux ont lancé ce printemps une campagne visant à mettre en valeur sept merveilles du Bas-Saint-Laurent, soit des territoires naturels à protéger. Vidéos, photos et informations sur le potentiel de ces aires à protéger ont été lancées. Le lac de l’Est du Mont-Carmel fait partie des sept merveilles en question.
Des élèves du Collège participent au reboisement des Tourbières Lambert
Sous un soleil radieux et une rare journée sans vent dans la plaine de Rivière-Ouelle, une centaine d’élèves du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière ont contribué à la plantation d’arbres sur les terres des Tourbières Lambert, les 10 et 11 mai derniers. L’objectif était de munir certaines terres de haies brise-vent ou de doter certaines d’entre elles de bandes riveraines élargies. Près de 3000 arbres sur presque 8 km, à différents endroits. La tâche était phénoménale, mais la main-d’œuvre plus que motivée. Sous l’impulsion du groupe Action pour le monde, une centaine d’élèves du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière ont ainsi été recrutés pour réaliser cette activité de reboisement social sous la supervision de la coopérative Arbre-Évolution.
Une exposition pour tourner la page sur la pandémie
Le printemps dernier, Causette Fortin et Nathalie Voisine ont inauguré leur exposition à la bibliothèque La Mosaïque de La Pocatière. Les deux artistes de Saint-Pascal ont choisi d’unir leur force pour réaliser l’exposition Baume au cœur, dialogue sur la pandémie, un regard à la fois gai et touchant sur cette pandémie que plusieurs préféraient sûrement aujourd’hui oublier. Causette est celle qui a eu l’idée de cette exposition, un projet qui l’allumait, mais qu’elle trouvait trop ambitieux pour une personne. Elle a contacté Nathalie Voisine pour lui proposer de se joindre à elle. « Les masques, on les porte depuis tellement longtemps, que je me disais qu’il fallait trouver un moyen de rendre ça plus gai. J’appréciais beaucoup le travail de Nathalie qui a l’habitude de peindre des visages. Je me suis dit qu’il y avait quelque chose là qu’on pouvait joindre », avait résumé Causette Fortin.
La médecine vétérinaire confirmée à Rimouski
Malgré la mobilisation des élus de Kamouraska-L’Islet, la construction du Pavillon de médecine vétérinaire a été confirmée à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) le printemps dernier. Le coût global du projet reste à déterminer, mais la première cohorte de 25 étudiants est attendue pour l’automne 2024. Jamais il n’a été question non plus de partenariats possibles avec l’ITAQ, Campus de La Pocatière lors de l’annonce. Un comité de mobilisation a tenté au fil des mois d’obtenir la possibilité que la faculté s’installe à La Pocatière, mais a finalement lancé la serviette en fin d’année.
Un prix au Gala Québec Cinéma pour Annie St-Pierre
La cinéaste Annie St-Pierre, originaire de Saint-Pascal, a remporté un prix pour son film « Les grandes claques » lors du dernier Gala Cinéma Québec. Elle a remporté l’Iris du meilleur court métrage, fiction.
Des bulles de bain qui créent des liens
Les idées les plus simples sont parfois celles par lesquelles naissent les plus beaux échanges. Dominique Dupéré, éducatrice spécialisée au Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) du Bas-Saint-Laurent, en sait quelque chose. Depuis le début de l’année, elle confectionne des bulles de bain avec ses usagers, une activité toute simple qui lui a permis d’entrer dans leur bulle comme jamais et de solidifier des partenariats déjà bien établis dans le milieu. Dominique a eu l’idée de partager cette réussite qu’elle vit avec la dizaine d’usagers sous sa supervision, en cette 26e édition de la Semaine québécoise des personnes handicapées. La plupart sont atteints d’une déficience intellectuelle ou d’un trouble du spectre de l’autisme. Certains ont même ce que les éducateurs qualifient de TGC, un trouble grave de comportement.
Des jours de prison pour Brandon Plourde
Brandon Plourde passera 45 jours en prison et fera des heures de travaux communautaires, en lien avec l’affaire qui a causé la mort de Marc-Olivier Paquet et Anthony Miville. Rappelons le dossier : Marc-Olivier Paquet et Anthony Miville de Saint-Jean-Port-Joli sont décédés après avoir consommé du MDA en trop grande quantité, alors qu’ils croyaient que c’était du MDMA, communément appelée ecstasy. Ils avaient acheté la drogue avant de se rendre au Bière Fest de Rivière-du-Loup en septembre 2019. Ils en ont consommé en début de soirée en ignorant que c’était une drogue plus toxique. Les deux hommes dans la vingtaine sont décédés et un troisième ami, Jean-Philippe Caron, a survécu. La trafiquante de Saint-Jean-Port-Joli Julie Anctil doit d’ailleurs passer six ans derrière les barreaux, selon une décision rendue en janvier 2021. Il restait à régler le dossier de Brandon Plourde, qui a servi d’intermédiaire entre Anctil et les victimes. « Le 13 septembre 2019, M. Plourde croise Jean-Phillipe Caron et Marc-Olivier Paquet à Saint-Aubert. Les deux jeunes hommes lui annoncent qu’il s’agit du 26e anniversaire d’Anthony Miville. M. Plourde leur demande s’ils ont besoin de quelque chose pour leur fête qui se tiendra à Rivière-du-Loup. Le délinquant se rend alors chez Julie Anctil et lui demande de la MDMA. Elle lui remet toutefois de la MDA. Elle lui explique que la consommation doit être faite d’un simple petit morceau de la roche cristallisé qu’elle lui remet, mais n’identifie pas la substance. M. Plourde remet ensuite la drogue à Jean-Phillipe Caron sans garder de commission pour ce trafic ». Plourde avait plaidé coupable et a reçu sa sentence pour son rôle de « courroie de transmission ». Le juge a donc décidé de le condamner à 45 jours de prison, 75 heures de travaux communautaires et 30 mois de probation.
Des conversions d’horaire qui ne font pas le bonheur de tous
Des conversions d’horaires de faction en horaires à l’heure réclamées depuis longtemps dans Kamouraska-L’Islet ont connu un dénouement à l’avantage des entreprises ambulancières de La Pocatière et de Saint-Pascal. À Saint-Jean-Port-Joli, la confirmation du statu quo a toutefois laissé un goût amer au représentant syndical local qui souhaite toujours obtenir ce changement.
Un prix pour le journaliste Maxime Paradis
Le journaliste du Placoteux Maxime Paradis a remporté la première place de la catégorie Opinion des plus récents Grands Prix des Hebdos pour son éditorial « ITAQ : Trop peu, trop tard… ». Créé en 1949, ce concours vise à mettre en lumière le travail des journalistes et des artisans de la presse locale et régionale. 58 médias membres de l’association ont soumis un total de 815 pièces dans les 16 catégories pour un total de 95 finalistes, dont 35 lauréats ayant terminé en première place.
Le Parc fluvial se dévoile
Le travail a duré plus de six ans, mais le jeu en a valu la chandelle. Le Parc fluvial du Musée maritime du Québec à L’Islet a été dévoilé le 22 juin devant un parterre d’une centaine d’invités. L’effet « wow ! » a été unanime. Grandes allées qui accentuent l’effet de profondeur sur le fleuve et le panorama de Charlevoix, aménagements sous forme d’estrade pour contempler les principaux bateaux-musées, espace piquenique et jardins, et promenade sur le Fleuve ne sont que quelques-uns des éléments qu’on retrouve au sein du Parc fluvial du Musée maritime du Québec. Ce nouveau décor imaginé par Pratte Paysage de Saint-Roch-des-Aulnaies a été dévoilé aux principaux partenaires et dignitaires réunis pour l’inauguration, après un chantier qui s’est échelonné sur environ dix mois, incluant l’arrêt hivernal.
Construire des logis pour les insectes
Le projet peut sembler inusité. Pourtant, les élèves de la classe de persévérance en continu (CPC) de l’École secondaire de La Rencontre ont bel et bien construit ce que plusieurs n’oseraient certainement jamais faire : des logis pour les insectes. Le tout prend l’allure d’une forme de « complexe hôtelier pyramidal » dans le Parc de la Fraternité de Saint-Pamphile. Branchages, cocottes, écorces, mousses et bien d’autres matériaux naturels de la sorte ont meublé les espaces de la structure composée entièrement de bois recyclé.
Un camp de jour annulé à la dernière minute
Une vingtaine de parents ont dû se trouver une autre option pour faire garder leurs jeunes cet été à Rivière-Ouelle. La Municipalité a dû annuler son camp de jour, à la suite du désistement de deux des quatre animateurs embauchés. Le maire de Rivière-Ouelle Louis-Georges Simard n’est pas entré dans les détails pour expliquer ce revirement de situation, mais a mentionné que la pénurie de main-d’œuvre frappait fort. À quelques jours d’avis, la Municipalité a tenté de trouver d’autres animateurs pour éviter d’annuler le camp, mais sans succès. Selon le maire Louis-George Simard, il faudra réfléchir en prévision de l’été prochain, puisque la volonté est d’offrir ce service aux parents. L’idée de se regrouper avec des voisins semble faire son chemin. « C’est définitivement à discuter », a-t-il dit.
5,6 M$ pour rénover la Salle André-Gagnon
Les travaux de modernisation et d’agrandissement de la Salle André-Gagnon de La Pocatière peuvent commencer. Le gouvernement a remis l’été dernier une subvention de 5,6 M$ pour un projet totalisant les 7 M$. C’est en 2018 que la Corporation régionale de la Salle André-Gagnon a commencé à mettre sur pied ce projet majeur qui mettra la salle au goût du jour autant au niveau de ses espaces que de ses équipements. Le gouvernement avait pu remarquer la volonté du milieu qui avait amassé plus de 500 000 $, grâce à une campagne présidée par le directeur du Camp musical de Saint-Alexandre Mathieu Rivest, aujourd’hui député de Côte-du-Sud. « À l’aube du centenaire, on ne pouvait pas rêver mieux », avait résumé pour sa part le président Jean Desjardins.
La Route du Haut-Pays voit officiellement le jour
La Route du Haut-Pays, qui traverse les sept municipalités les plus au sud du Kamouraska, s’est concrétisée. Son parcours peut maintenant être consulté par le biais de l’application izi. TRAVEL, sans parler des œuvres d’art public qui commencent tranquillement à faire leur apparition aux quatre coins du tracé. Environ une année aura suffi à concrétiser ce projet que l’agent de développement au tourisme et au Parc régional du Haut-Pays de Kamouraska Alexandre Bibeau souhaite voir s’imposer comme une alternative à la Route des Navigateurs sur le littoral. Au départ de la Maison du Kamouraska, dans la Grande-Anse à La Pocatière, le chemin se dirige au sud vers Saint-Onésime-d’Ixworth avant de se diriger vers l’est jusqu’à Saint-Alexandre-de-Kamouraska, pour ensuite redescendre vers le fleuve au nord à son point final, le Parc municipal de la Rivière Fouquette, le tout sur une distance de 86 km. Tout au long du parcours, des lieux d’intérêts, d’autres historiques et des entreprises ont été identifiés afin de justifier le détour.
Le Jardin floral devient l’horticulteur de Ville La Pocatière
Une entente historique a été conclue entre la Ville de La Pocatière et le Jardin floral. L’OBNL est maintenant l’horticulteur officiel de la Ville, ce qui lui permet par le fait même d’assurer sa pérennité. En plus de 25 ans d’histoire, jamais le Jardin floral de La Pocatière n’a réussi à se négocier une entente aussi intéressante. De 2000 $ par année, l’OBNL reçoit cette année la totalité du budget horticole de la Ville de La Pocatière, soit 60 022 $, en plus d’un 20 000 $ supplémentaire accordé précédemment, pour travailler à l’embellissement de ses platebandes et ses bacs jardiniers, leur entretien, en plus de la gestion du Jardin communautaire sur l’avenue Industrielle. La somme restante pourra servir au bon fonctionnement de l’organisme et l’amélioration de son site sur la route 230.