La mission de l’ITAQ en France fait des petits

Groupe qui a visité le Lycée des Hauts-Sillons. De gauche à droite : Antoine Hudon, Danick Bonnette, Mégane Lamoureux, Samuel Doyon, Paula Lalonde, Line Roberge (accompagnatrice), Frédéric Desjardins et Stella Renard. Photo : Courtoisie

L’Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ) lançait un peu plus tôt cette année une série de bourses d’études, Agir pour le Climat et la Transition Écologique : ACTE! Dans le cadre de ce programme, et pour faire suite à la mission de l’ITAQ en France, un groupe de onze étudiants, accompagnés de deux membres du personnel, se sont prévalus d’un séjour d’immersion du 20 au 27 mai derniers, dans deux établissements d’enseignement français.

Un premier groupe a eu la chance d’être reçu par le lycée les Sillons de Haute-Alsace et un autre à l’agrocampus de Tours — Fondettes.

Afin de choisir qui de ceux auraient le privilège d’effectuer ce séjour, les personnes intéressées devaient soumettre un texte démontrant l’importance que prennent les questions environnementales et la transition agroécologique dans leur vie scolaire ou professionnelle.

Grâce aux bourses couvrant 70 % de leurs frais de voyage et de séjour, et ce, pouvant aller jusqu’à 3 000 $ par personne, ce premier groupe d’étudiants et leurs accompagnatrices ont pu explorer les différents procédés et savoir-faire entourant la viticulture, l’horticulture et l’agroalimentaire dans ce lycée français.

« Les lycées qui ont accueilli nos jeunes sont des établissements de référence en enseignement et à la formation professionnelle aux métiers de la nature et du vivant. Ils font partie de la dizaine de lycées rencontrés lors de notre mission en mars dernier. Ce projet de mobilité illustre ainsi nos actions qui permettront à notre institut de prendre concrètement sa place de leader dans la transition agroécologique, véritable enjeu d’avenir pour notre secteur. C’est aussi le début d’une belle collaboration avec des établissements avec qui des partenariats spécifiques et des projets de bi-diplomation et de mobilité du personnel prendront leur envol », conclut Aisha Issa, directrice générale de l’ITAQ.

Source : Institut de technologie agroalimentaire du Québec