Revue de l’année 2023 : Août

Près de 24 heures avec le robinet à sec

L’eau manquait dans le réseau d’aqueduc de Saint-Pascal, les 16 et 17 août derniers. Un bris à l’usine de filtration créait une situation sans précédent, privant d’eau les usagers durant plus de 24 heures dans certains cas. L’eau étant revenue, mais restée durant quelques jours impropres à la consommation, la Ville alimentait en attendant ses citoyens en eau potable par le biais d’un centre de distribution ouvert au Centre communautaire Robert-Côté. Un bris survenu à une pompe de l’usine de filtration était à l’origine du problème, celle-ci étant responsable du nettoyage des filtres servant à la filtration de l’eau, inhabituellement sollicités l’été dernier en raison des pluies récurrentes. Une pompe neuve trouvée à Cowansville a permis de rétablir la situation, près d’une semaine après le début de la crise.

Une cinquantaine de sous-sols inondés à Saint-Pascal

Alors que la Ville de Saint-Pascal faisait face à une crise majeure d’accès à l’eau potable, près d’une cinquantaine de résidences de Saint-Pascal se retrouvaient au même moment les deux pieds dans l’eau, leurs sous-sols étant inondés à la suite de nouvelles pluies diluviennes. Chez quelques sinistrés, l’événement rappelait celui de 2007, alors que 300 maisons s’étaient retrouvées avec leurs sous-sols inondés à la suite de pluies qui avaient laissé 90 mm d’eau sur la ville en trois heures. La situation de cette année était sans commune mesure, de l’avis de la Ville de Saint-Pascal. La frustration était tout de même grande pour certains citoyens qui attribuaient les débordements au réseau d’égout de la Ville. La mairesse Solange Morneau tenait à relativiser : environ 25 % du réseau d’égout de la Ville avait été refait depuis 2007, sans parler des citoyens qui avaient aussi apporté des modifications à leur maison pour éviter de revivre pareille situation. « Je crois que toutes ces interventions combinées expliquent pourquoi moins de gens sont touchés cette année », avait-elle déclaré.

Son bouvillon éventré par un ours

La scène était digne de la série The Walking Dead. Un producteur de bovins de boucherie de Sainte-Hélène-de-Kamouraska découvrait le 15 août en matinée un de ses bouvillons éventré, visiblement par un ours, sur une de ses terres de Saint-Pascal. Il arrivait à ce constat en raison des traces de griffes décelées dans la chair de la carcasse, et parce qu’il y avait plusieurs endroits où le foin avait été écrasé dans le champ avoisinant, ce qui laissait croire qu’une famille y avait séjourné. Selon lui, il était possible que son veau, né en avril dernier et qui pesait environ 450 lb, ait approché des oursons alors que leur mère n’était pas loin. Par instinct, elle se serait portée à la défense de ses petits en s’attaquant au bouvillon. Selon l’agent de protection de la faune contacté par l’éleveur, il serait possible qu’une famille d’ours ait été de passage. Daniel Lajoie évaluait sa perte à au moins 2500 $.

Une dernière rentrée pour Marie-Claude Deschênes

La directrice générale du Cégep de La Pocatière, Marie-Claude Deschênes, goûtait à sa dernière rentrée. À la fin de la présente année scolaire, elle quitterait son poste pour une retraite bien méritée. La décision avait été mûrie durant le précédent congé des Fêtes. La décision était communiquée au conseil d’administration du cégep et aux équipes de travail des trois campus de Montmagny, de La Pocatière et de Témiscouata-sur-le-Lac à son retour des vacances estivales. Marie-Claude Deschênes souhaitait que son remplaçant soit trouvé avant son départ afin d’assurer une forme de transition.

Saint-Roch-des-Aulnaies joint une seconde étude de regroupement municipal

Saint-Roch-des-Aulnaies décidait de jouer sur deux tableaux. Toujours impliquée dans un projet d’étude de regroupement municipal dans L’Islet-Nord, la Municipalité décidait d’étudier la question également avec La Pocatière et ses voisines. Investie dans une étude de regroupement municipal avec Saint-Jean-Port-Joli, L’Islet et Saint-Aubert, Saint-Roch-des-Aulnaies se permettait de regarder également du côté de La Pocatière dont l’étude implique également Saint-Denis-De La Bouteillerie, Rivière-Ouelle, Saint-Pacôme, Sainte-Anne-de-la-Pocatière et Saint-Onésime-d’Ixworth. Le maire André Simard estimait que son conseil municipal avait la responsabilité d’évaluer un regroupement éventuel avec La Pocatière, avec qui des liens naturels existent de longue date.

Se diversifier pour résister aux aléas climatiques

Les aléas climatiques vécus durant l’été donnaient du fil à retordre aux producteurs maraîchers du Québec. Loin de pavoiser dans les circonstances, deux entreprises maraîchères du Kamouraska s’estimaient tout de même en bonne posture en raison de la diversification de leurs activités. Et s’il s’agissait là de la clé de la résilience? À la ferme Cybèle de La Pocatière, Sophie Demougeot et son conjoint Alain Anctil, qui cultivent depuis 2000 des fraises et des framboises, ont diversifié leur offre avec la vente de légumes produits par eux, ou par d’autres maraîchers de la région, à leur kiosque de la route 132 transformé en bar laitier il y a de ça une bonne quinzaine d’années. Aux Jardins du Haut-Pays de Saint-Onésime-d’Ixworth, la diversification se vivait au champ au chapitre des techniques de culture, mais aussi dans la mise en marché qui va des restaurateurs aux supermarchés, en passant par le kiosque de fruits et légumes à la ferme ou mobile.

Un projet d’auberge de 3 M$ au lac de l’Est

On connaissait mieux la raison de la démission de deux anciens conseillers municipaux à Mont-Carmel. Jean-Yves Boucher et Mélody Dionne dévoilaient être à la tête d’un groupe d’une vingtaine d’investisseurs derrière un projet d’auberge évalué entre 2 et 3 M$ au lac de l’Est, en attente d’autorisation par la Municipalité. Ce projet d’envergure consistait en la construction d’une auberge de neuf chambres avec restaurant, bar, terrasse, dépanneur et poste d’essence. Le tout serait ouvert à l’année. Un total de vingt-cinq actionnaires avaient été rassemblés en août dernier, dont vingt étaient des résidents de Mont-Carmel même.

Rosaire Ouellet succombe à un cancer

Triste nouvelle pour les gens de la région, alors que le maire de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, Rosaire Ouellet, décédait d’un cancer fulgurant. Il avait 69 ans. Selon les informations émanant de la page Facebook personnelle de son fils, Francis Ouellet, M. Ouellet souffrait d’un cancer du poumon qui s’était répandu au foie. Il avait reçu son diagnostic peu de temps avant son décès. Maire de Sainte-Anne-de-la-Pocatière de 2013 jusqu’à son décès, Rosaire Ouellet avait œuvré au préalable durant 34 ans dans la fonction publique. Il avait notamment été directeur général de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA), de 2010 à 2013. Plusieurs témoignages émanant de la classe politique régionale, à la suite de son décès, soulignaient l’apport important de M. Ouellet à la vie politique kamouraskoise, au développement socioéconomique de la région, et plus particulièrement au milieu agroalimentaire auquel il avait consacré la majeure partie de sa vie.

Arrestation d’un homme de 20 ans pour tentative de fraude

Les enquêteurs du poste de la MRC de L’Islet procédaient à l’arrestation d’un homme de 20 ans pour tentative de fraude sur une personne du troisième âge. Grâce à la vigilance de la victime, les policiers ont procédé immédiatement à l’arrestation du suspect qui venait d’arriver sur place afin de percevoir un montant d’argent. Rencontré et interrogé, le jeune homme était par la suite libéré. Il a comparu ultérieurement pour faire face à des accusations de fraude.

Saint-Pacôme doit refaire ses devoirs sur le manganèse

Saint-Pacôme devait encore patienter. Affectée par la présence de manganèse dans son eau potable, la Municipalité devait commander de nouvelles études si elle souhaitait se qualifier à un programme gouvernemental qui lui donnerait accès à une aide financière lui permettant de construire une usine de filtration au sable vert évaluée à 4 M$. Avant la pandémie, la facture pour pareille infrastructure s’élevait à 2 M$. En dollars d’aujourd’hui, la somme a maintenant doublé. Tous les espoirs étaient permis avec la sortie récente du Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU) 2023 du gouvernement du Québec, car ce dernier devait permettre d’absorber une partie des coûts pour la construction de cette usine. Or, les études dont disposait Saint-Pacôme à ce moment ne lui permettaient pas de se qualifier au programme. Une nouvelle offre de services était placée à la firme Tetra Tech afin d’aller chercher ces nouvelles données.

Le pire évité à la Halte de la Seigneurie

Le pire était évité à la Halte de la Seigneurie de Saint-Roch-des-Aulnaies. Un incendie qui s’était déclaré dans le véhicule d’une entreprise de service pour la station-service Shell faisait craindre le pire. L’entreprise, chargée de faire l’inspection et la maintenance des réservoirs d’essence de la station-service, a vu son véhicule prendre feu soudainement, à la suite d’un problème mécanique. Or, ledit véhicule se trouvait au même moment au-dessus des réservoirs. Un total de dix pompiers, provenant des casernes de La Pocatière et de Saint-Roch-des-Aulnaies, intervenaient aussitôt sur les lieux. Le feu a été rapidement maîtrisé.

Benjamin Ouellet remporte l’or aux Championnats canadiens d’athlétisme

Benjamin Ouellet était à Langley en Colombie-Britannique pour participer aux Championnats canadiens d’athlétisme. Il compétitionnait comme à l’habitude dans les catégories du 1500 m ainsi que du 800 m. Au 1500 m, l’athlète non voyant de Saint-Pascal terminait en deuxième place, avec un chronomètre de 4 min 41 s. Pour sa seconde course le lendemain, Benjamin Ouellet obtenait un temps de 2 min 15 s au 800 m, ce qui lui a permis de repartir avec la médaille d’or.

Lucie Anctil à la Coupe du monde féminine de baseball

Lucie Anctil de La Pocatière apprenait qu’elle représenterait le Canada à la Coupe du monde féminine de baseball de la Confédération mondiale de baseball et softball, en compagnie de 19 autres coéquipières. L’événement se tenait du 8 au 13 août à Thunder Bay, en Ontario. Il s’agissait d’une première participation pour la jeune athlète de 20 ans au sein de l’équipe canadienne, elle qui pendant toute l’année s’entraîne à l’Académie de baseball du Canada à Trois-Rivières.

La Pocatière veut aussi son complexe multisport

Le projet de Complexe culturel et sportif en santé durable du côté de Montmagny n’était plus le seul à faire grand bruit en Côte-du-Sud. Plus à l’est, la Ville de La Pocatière travaillait en parallèle à un projet pratiquement similaire, mais plus modeste, qu’elle souhaitait voir se réaliser dans son ancien aréna. Le projet envisagé par la Ville de La Pocatière prévoyait diviser le bâtiment en trois surfaces de jeu : une surface synthétique permettant la pratique de sports comme le baseball et le soccer intérieur, ou encore l’ultimate frisbee, une autre réservée au hockey de terrain (dek hockey) ou au tennis léger (pickleball), et enfin une dernière consacrée aux sports de « tapis » comme le judo. À cela s’ajouteraient la rénovation des blocs sanitaires, et la construction d’une mezzanine avec vue sur les différentes pratiques sportives. La Ville de La Pocatière disait souhaiter une aide financière gouvernementale pour absorber une partie des frais du projet, évalué entre 8 et 10 M$.

Deux nouvelles places de stationnement réservées aux gens à mobilité réduite

L’Arc-en-ciel du cœur du Kamouraska offrait désormais deux places de stationnement réservées à ses membres à mobilité réduite, et ce, juste en face de leur local situé sur la 4e Avenue à La Pocatière. Il s’agissait par ailleurs d’un projet pilote initié par la Ville de La Pocatière. Si le tout s’avérait concluant, d’autres espaces de stationnement pour les gens à mobilité réduite pourraient voir le jour dans le secteur.

BMR Avantis offre une table de pique-nique à Moisson Kamouraska

Moisson Kamouraska était victime d’un vol à sa nouvelle adresse à La Pocatière. Entre les 17 et 20 août, une des tables de pique-nique de l’organisme disparaissait. Il ne s’agissait pas du premier larcin dont Moisson Kamouraska était victime, puisque dans les années précédentes, la banque alimentaire s’était également fait voler des bacs et des poubelles. Cette fois-ci, à la suite d’une publication dénonçant la situation sur sa page Facebook, BMR Avantis La Pocatière prenait la décision d’offrir une nouvelle table, afin de remplacer celle s’étant fait dérober par les larrons. Précisons que la table volée avait naguère été achetée à leur magasin.

Les chevreuils font des ravages à Saint-Pacôme

Arbres fruitiers mangés, cultures de potager abîmées, haies de cèdres défeuillées, les chevreuils étaient plus nombreux que jamais à Saint-Pacôme, et les ravages à la végétation se multipliaient, au grand dam de certains citoyens qui en accusaient d’autres d’être à l’origine du problème en nourrissant les bêtes. Raymond Picard, qui habite la même maison depuis 1988, était de ceux dont les chevreuils s’en donnaient à cœur joie dans le jardin, été comme hiver. Avec d’autres membres de son voisinage, il était d’avis que cette surabondance de chevreuils était due au fait que certaines personnes de son quartier les alimentaient. Informée de la situation, la mairesse Louise Chamberland mentionnait que les bêtes se trouvaient désormais partout à Saint-Pacôme, même dans les endroits les plus « urbanisés » du village. Malgré un nouveau règlement sur le nourrissage des cerfs de Virginie adopté par le gouvernement du Québec le printemps dernier, Saint-Pacôme souhaitait ajouter son grain de sel en adoptant un règlement inspiré de celui du gouvernement, mais qui serait applicable sur une plus longue période de temps. Ne restait qu’à déterminer qui appliquerait la réglementation, advenant son adoption.

Des hausses d’étudiants dans toutes les écoles du Kamouraska

La rentrée scolaire 2023-2024 était marquée, du moins au Kamouraska, par une hausse globale des effectifs étudiants. Les hausses étaient modestes, mais tout de même dignes de mention. Au Cégep de La Pocatière, 827 étudiants franchissaient la porte du campus pocatois le 21 août. Il s’agissait d’une augmentation de 13 étudiants par rapport à l’année précédente. À l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec 311 étudiants entamaient la session automnale au campus de La Pocatière. L’an dernier, ils étaient 289, ce qui représente une hausse de plus de 7 %. Au Centre de services scolaire de Kamouraska–Rivière-du-Loup, les écoles de la MRC de Kamouraska, incluant celles de Saint-Roch-des-Aulnaies et de Sainte-Louise, enregistraient une hausse globale du nombre de leurs élèves, passant de 2329 en 2022-2023 à 2358 cette année. Dans les écoles de L’Islet rattachées au Centre de services scolaire de la Côte-du-Sud, une baisse générale de 38 élèves était observée, pour un total de 1702. Cette diminution était perceptible autant au niveau secondaire que primaire.

L’école primaire de Saint-Marcel inaugure ses nouvelles installations extérieures

Bien que la population locale ait pu en profiter durant l’été, c’est le 24 août que l’École primaire Saint-Marcel inaugurait officiellement sa toute nouvelle cour d’école. Avec des investissements totalisant 290 000 $, ce nouvel espace d’apprentissage et de jeu innovant, dit sécuritaire, était désormais plus accessible et mieux adapté aux besoins des élèves et de la communauté. Il aura toutefois fallu près de trois ans de travail acharné avec divers partenaires du milieu pour amasser la somme requise afin que l’École puisse être en mesure d’autoriser le début des travaux. Les élèves avaient également été consultés à différentes reprises pour s’assurer que les choix de jeux et d’aménagement correspondaient bien à leurs besoins et à leurs envies. Ainsi, la cour de l’école a été entièrement revampée, avec de nouvelles balançoires, différents espaces sportifs, une grande aire de sable, un circuit de vélo et de trottinette, ainsi qu’un espace réservé pour une classe extérieure. Notons aussi l’ajout de pelouse, alors qu’auparavant, la cour était essentiellement couverte de gravelle.

Les champignons marins s’ajoutent aux connaissances de Biopterre

Biopterre a depuis longtemps fait de la recherche sur les champignons terrestres l’un de ses créneaux d’excellence. À ces connaissances s’ajoutent maintenant les champignons marins, mais pas n’importe lesquels : ceux du Saint-Laurent. Les champignons marins piquent la curiosité. Le commun des mortels ignore bien souvent leur existence, alors que les scientifiques se sont peu intéressés à eux par le passé, contrairement aux bactéries. Par la recherche fondamentale que Biopterre mène sur les champignons marins, le centre collégial de transfert de technologie rattaché au Cégep de La Pocatière cherchait à élargir ses connaissances sur le sujet afin d’orienter les projets de recherche appliquée de ses futurs clients. Certaines propriétés identifiées dans le cadre de ces travaux ouvraient d’ailleurs de belles fenêtres que l’équipe de chercheurs souhaitait continuer à étudier. Des champignons marins du Saint-Laurent seraient, entre autres, très efficaces pour éliminer certains contaminants dans l’eau, notamment les colorants textiles. Biopterre désirait maintenant pousser ses recherches davantage du côté pharmaceutique, puisque la littérature scientifique faisait déjà état du potentiel antibiotique, ou même anticancer, des champignons marins.

La pluie n’affecte pas les Chants de marins

Même si dame Nature avait boudé la région tout l’été, force était de constater que la 24e édition des Chants de marins de Saint-Jean-Port-Joli n’en souffrait pas trop. Au sortir de l’événement, les organisateurs évoquaient un achalandage sensiblement pareil aux éditions précédentes, soit environ 10 000 festivaliers. Plusieurs spectacles avaient cependant été tenus à l’intérieur de La Vigie en raison de la pluie.

La mairesse de Saint-Denis parmi les meilleures au monde en triathlon

Nicole Généreux, mairesse de Saint-Denis-De La Bouteillerie, brillait parmi les meilleures athlètes féminines au monde en triathlon, chez les 60-64 ans. Forte d’une huitième position obtenue au Championnat du monde, Nicole Généreux prenait sa revanche sur elle-même, démontrant au passage une ténacité hors du commun. Le Championnat du monde de triathlon avait lieu le 14 juillet dernier à Hambourg, en Allemagne. Nicole Généreux s’y était qualifiée pour représenter le Canada dans sa catégorie d’âge, un an auparavant. Depuis l’hiver dernier, elle s’entraînait six jours sur sept, pour un total de huit heures trente minutes à neuf heures par semaine. Ses objectifs atteints, Nicole Généreux ne fermait pas la porte à une autre compétition de triathlon dans quelques années, « le temps qu’elle change de catégorie d’âge », ce qui l’avantagerait en étant parmi les plus jeunes.