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Le Kamouraska en mission économique à Québec

Après Montréal, l’an dernier, c’est à Québec que se tiendra la 2e mission économique du Kamouraska le 2 juin prochain. Une cinquantaine de personnes composent la délégation. Vingt-sept entreprises y seront représentées, dont quatre dans le domaine de l’innovation et sept dans celui de l’agroalimentaire.

Plusieurs membres de cette délégation étaient présents, mardi dernier, pour cette annonce, dont le préfet de la MRC de Kamouraska, M. Yvon Soucy et la directrice générale de Promotion Kamouraska, Mme Pascale Dumont-Bédard.

Selon M. Soucy, la mission de Montréal a eu des retombées positives, maintenant des liens d’affaires avec les entrepreneurs qui étaient présents. Il est convaincu qu’il en sera de même à Québec grâce à un programme d’événements de réseautage, d’une table ronde et de rencontres. M. Soucy parle aussi de rencontres possibles avec des parlementaires.

La journée débutera par un petit-déjeuner à l’Hôtel de Ville de Québec. Les entreprises se rendront à leurs différents rendez-vous d’affaires, résume Mme Dumont-Bédard. « Les quatre centres de recherche et d’innovation (Novika, Biopterre, Optech et le CDBQ) présenteront à différents intervenants le modèle unique d’innovation du Kamouraska », dit-elle.

Agroalimentaire et innovation

Lors d’une table agroalimentaire, M. Rosaire Ouellet, maire de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et maire délégué à l’agriculture et au bioalimentaire, dressera le portrait de l’agroalimentaire du Kamouraska. Suivra une période d’échange entre les entreprises de Québec et du Kamouraska.

Pour le volet innovation, c’est M. Joël Bourque, directeur général de développement économique La Pocatière qui fera la présentation. Mme Dumont-Bédard rencontrera l’Office du tourisme de Québec afin de connaître davantage les intervenants en tourisme de la Capitale et tisser des liens entre Québec et le Kamouraska.

Pour clôturer la journée, les intervenants des deux délégations se rendront à l’hôtel de ville de Québec pour un cocktail réseautage.

Essentiellement, affirme Pascale Dumont-Bédard, à travers une cinquantaine de rendez-vous d’affaires, « nos entreprises auront l’occasion de développer des partenariats avec celles de Québec. » La proximité entre Québec et le Kamouraska ne fait pas automatiquement que le marché est ouvert, dit-elle. L’effet de groupe ouvre des portes.