Louis-Georges Simard se représente à Rivière-Ouelle

Le maire de Rivière-Ouelle, M. Louis-Georges Simard, sollicitera un nouveau mandat lors des élections municipales de novembre prochain.

Peu de temps après son retour à Rivière-Ouelle en 2007, après avoir passé 35 ans à Montréal, M. Simard s’est impliqué en politique municipale. Il a fait son entrée en 2009 comme conseiller et comme maire depuis 2013. « J’ai eu la chance de travailler avec un groupe de conseillers qui m’ont toujours supporté dans divers projets pour améliorer la qualité de vie des citoyens et je les en remercie sincèrement », dit-il.

Je serai de retour devant les citoyens avec trois nouveaux candidats, Marie Dubois, François Chalifour et Doris Gagnon, qui m’ont signifié leur intérêt pour prendre la place des membres de l’équipe actuelle qui n’ont pas l’intention de solliciter un nouveau mandat.

Dans un communiqué, il met en lumière différentes réalisations de son conseil, notamment le déménagement dans un nouveau bureau plus fonctionnel et la rénovation de la salle du tricentenaire. « Les projets dont je suis le plus fier sont ceux qui ont été accomplis par nos concitoyens avec le support de la municipalité », poursuit M. Simard.

« Notre programme de remboursement des articles scolaires permet de nous distinguer en soulignant l’importance des jeunes familles », dit-il.

« Nous sommes fiers de notre école primaire avec sa garderie que nous avons réussi à obtenir de la Commission scolaire en 2015. Le Camp de jour ainsi que le programme de soccer, largement soutenus par la municipalité, sont également très populaires auprès des jeunes familles », ajoute le maire sortant.

La municipalité, rappelle le maire, a dû relever les défis qu’impose la cohabitation avec le fleuve et la rivière.

« Je serai de retour devant les citoyens avec trois nouveaux candidats, Marie Dubois, François Chalifour et Doris Gagnon, qui m’ont signifié leur intérêt pour prendre la place des membres de l’équipe actuelle qui n’ont pas l’intention de solliciter un nouveau mandat », a mentionné M. Simard.