Un magazine qui doit faire le profil du Kamouraska en matière d’agriculture écoresponsable est actuellement en gestation dans la région. Porté par l’entreprise kamouraskoise la Coop des champs, ce magazine portera le nom de Culture de rang et doit paraître sur une base annuelle.
Créée en 2017, la Coop des champs a pour mission de mettre en valeur et de positionner l’agriculture écoresponsable à travers trois volets : un service d’approvisionnement en agriculture écoresponsable pour la restauration et le commerce de détail; un service d’accompagnement à la valorisation du territoire qui vise à rétablir des terres inutilisées pour qu’elle puisse accueillir des projets en agriculture écoresponsable; et un service d’éducation à l’environnement dans lequel le projet de magazine s’inscrit.
« Les articles vont traiter notamment de l’aspect bénéfique de l’agriculture écoresponsable pour le consommateur, le producteur et l’environnement. L’an prochain, on s’intéressera peut-être à une autre région. », Jean-Philippe Grenier
Pour sa première édition, le magazine Culture de rang doit notamment s’intéresser à la région de Kamouraska, où la coopérative a vu le jour, en dressant le portrait de l’agriculture écoresponsable qui se pratique sur son territoire. La publication doit aussi faire des clins d’œil à des initiatives d’ailleurs au Québec qui sont considérées inspirantes. « Les articles vont traiter notamment de l’aspect bénéfique de l’agriculture écoresponsable pour le consommateur, le producteur et l’environnement. L’an prochain, on s’intéressera peut-être à une autre région », de préciser Jean-Philippe Grenier, membre fondateur et coordonnateur de la Coop des champs.
Partenariats
Réalisé en partenariat avec Visages régionaux, le magazine bénéficie d’une aide financière provenant de l’Entente de développement culturel de la MRC de Kamouraska pour sa première édition. De plus, la Coop des champs désire le rendre disponible gratuitement au Kamouraska.
Par contre, impossible pour le moment de connaître le nombre d’exemplaires qui sera distribué, mais Jean-Philippe Grenier mentionne qu’une version numérique du magazine sera aussi disponible. « On aimerait qu’il soit finalisé pour l’été afin de l’offrir dans des lieux touristiques achalandés de la région », concluait-il.