Le documentaire qui met entre autres en vedette la cantine chez Mimi de Saint-Alexandre-de-Kamouraska reçoit une réponse «extraordinaire» de l’avis de son artisan, Nicolas Paquet de la maison de production franC doc de Saint-Alexandre. Il est rare qu’un film documentaire soit présenté dans plusieurs cinémas simultanément, ce qui est en soi une bonne nouvelle.
Le documentaire est entre autres en salles à Rivière-du-Loup, Montréal (Beaubien), Québec (Le Clap) et Sherbrooke (La maison du cinéma) jusqu’au 27 avril. Des dates sont aussi prévues ce printemps à Rouyn-Noranda, Rimouski, Trois-Pistoles et Tadoussac. « Il y a tout un «buzz». On a presque tous un attachement aux cantines, ça nous parle beaucoup. On s’identifie à ce qu’est une cantine, c’est un lieu authentique », a dit Nicolas Paquet.
Il a travaillé plus de cinq ans sur ce projet, dans lequel l’artisan s’est grandement investi, dans la scénarisation, la réalisation et une partie de la production.
« Il y a tout un «buzz». On a presque tous un attachement aux cantines, ça nous parle beaucoup. On s’identifie à ce qu’est une cantine, c’est un lieu authentique. » – Nicolas Paquet
Le documentaire porte sur les cantines qui représentent aussi un point de rencontre pour toute la communauté. Ayant survécu à l’invasion des grandes chaînes de bouffe rapide, les cantines doivent maintenant faire face aux changements des habitudes des clients et aux transformations démographiques des milieux ruraux. « Les gens sont touchés par l’humanité dans le documentaire. On s’attache aux personnage s», ajoute Nicolas Paquet, au sujet des réactions suite aux premiers visionnements.
Le documentaire est porté par la musique de Fred Fortin et porte un regard intime sur la cantine chez Mimi à Saint-Alexandre-de-Kamouraska et Le Connaisseur à Tadoussac.