Résident de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud, Erick Couillard se porte candidat à l’investiture libérale de Côte-du-Sud prévue le 20 mai prochain à Saint-Jean-Port-Joli. L’annonce de sa candidature survient plus d’un mois après celle de Simon Laboissonnière, originaire de Saint-Pascal.
Âgé de 46 ans, Erick Couillard travaille à titre de conseiller stratégique en affaires industrielles et publiques. Disposant d’une formation d’enseignant en éducation physique, il a été chargé de cours à l’Université Laval durant plus d’une quinzaine d’années, en plus de prendre part à des activités de recherches en parallèle pendant plus de 10 ans.
« Mon expérience est diversifiée et les membres m’ont demandé d’y aller. J’ai mis sur la glace mes engagements professionnels pour aller à la rencontre des membres et leur montrer ce que j’ai à offrir. » – Erick Couillard
À deux semaines de l’investiture libérale dans Côte-du-Sud, M. Couillard décide de se porter candidat après avoir été sollicité par des militants de la communauté d’affaires du secteur de Montmagny. « Mon expérience est diversifiée et les membres m’ont demandé d’y aller. J’ai mis sur la glace mes engagements professionnels pour aller à la rencontre des membres et leur montrer ce que j’ai à offrir », a-t-il mentionné.
Selon lui, cette convention qui s’annonce le 20 mai entre lui et Simon Laboissonnière est dans l’intérêt des membres de l’Association libérale de Côte-du-Sud et dans l’intérêt des valeurs du parti qui prône qu’un candidat ou une candidate soit nommé démocratiquement. Il ajoute que le fait qu’il arrive tard dans la course, après avoir été sollicité principalement par des membres du secteur ouest, n’est pas signe d’une division entre l’est et l’ouest du comté au sein de l’Association. « Il n’y a pas de division au sein de l’Association, seulement une saine compétitivité. Le comté est grand, les enjeux sont différents partout et c’est normal que les membres cherchent à être le mieux représentés possible. Moi je m’engage à ne pas diviser, à rassembler et à ne pas prioriser une Municipalité plus qu’une autre », concluait-il.