Le directeur général de Peterbilt Atlantic à Saint-Pascal, Robin Brisebois, a accepté la présidence du nouveau conseil d’administration de la CCKL. Il a l’intention de participer à mieux faire connaître les avantages d’être membre de la Chambre de commerce et à renouveler son image.
C’est lors de la première réunion du nouveau conseil d’administration de la CCKL que les membres du conseil ont nommé M. Brisebois comme président de la Chambre pour la prochaine année. Il sera appuyé de Mme Nathalie Adams, comme vice-présidente et de MM. Jean-François Fortin et Claude Robitaille qui conserveront leur poste respectif de trésorier et de secrétaire.
C’est justement en raison de la force de l’équipe qui le secondera que Robin Brisebois a accepté la présidence. Il l’avait d’abord refusée en assemblée générale annuelle.
Il en est à sa deuxième année comme administrateur à la CCKL où il s’est impliqué dès son arrivée dans la région. Il prend donc la relève de Mme Élizabeth Hudon qui a quitté, après plus de trois ans au sein du Conseil d’administration, afin de relever de nouveaux défis.
« Il y a plusieurs défis, mais principalement, je souhaite que la chambre soit mieux connue. Certains ne savent pas tous les avantages qu’on peut avoir en étant membre. » – Robin Brisebois
« Il y a plusieurs défis, mais principalement, je souhaite que la chambre soit mieux connue. Certains ne savent pas tous les avantages qu’on peut avoir en étant membre », a dit Robin Brisebois. Il travaillera également à ce que le site web soit mis à jour et à renouveler l’image corporative.
Au niveau financier, il souhaite stabiliser les finances de la CCKL et de la ramener au seuil de la rentabilité. Un plan a été voté à ce sujet.
Homme d’action, il estime qu’il faudra tenir des activités de réseautage qui ont montré leur succès par le passé et innover pour bonifier la gamme d’activités. « Je souhaite vraiment remercier les gens qui ont pavé la voie avant moi, avant nous, dont Elizabeth Hudon, Christian Plouznikoff et Carl Tomassin. Il faut aussi souligner le support constant et le travail méthodique de Frederica Bouchard », a-t-il conclu.

