Bernard Généreux félicite ses collègues nommés au cabinet fantôme

Bernard Généreux.

Le député fédéral Bernard Généreux félicite ses collègues du Québec ayant obtenu aujourd’hui de nouveaux rôles au sein de l’Opposition officielle pour la deuxième session de la 43e législature.

M. Généreux estime que les nominations québécoises témoignent de l’importance accordée par le chef Erin O’Toole à la belle province en vue de la prochaine session parlementaire. On retrouve désormais cinq députés du Québec au sein du cabinet fantôme :

  • Richard Martel (Chicoutimi–Le Fjord), Lieutenant politique pour le Québec ;
  • Gérard Deltell (Louis-Saint-Laurent), Leader en Chambre de l’Opposition officielle ;
  • Luc Berthold (Mégantic–L’Érable), Conseil du Trésor
  • Pierre Paul-Hus (Charlesbourg–Haute-Saint-Charles), Services publics et Approvisionnement ;
  • Alain Rayes (Richmond–Arthabaska), Patrimoine canadien, langues officielles, et Développement économique du Québec.

« Je salue avec enthousiasme mes collègues du Québec qui ont obtenu des rôles de très haut calibre au sein du cabinet fantôme conservateur, a déclaré Bernard Généreux pour donner suite à l’annonce de son chef. Je félicite également les nouveaux visages de notre parti de l’ensemble du Canada qui auront l’opportunité de se faire connaître et de tenir tête au gouvernement de Justin Trudeau en cette période cruciale pour l’avenir de notre pays. Ainsi, grâce à l’expérience que l’équipe d’Erin O’Toole aura acquise, il nous sera possible de reprendre le pouvoir aux prochaines élections. »

Connu pour son franc-parler, le député reconnaît les choix politiques que devait faire le chef et indique se faire un point d’honneur de travailler en équipe. « Je suis plus que jamais disponible et à l’écoute pour défendre mes citoyen(ne)s. Je vais travailler étroitement avec mes collègues pour faire avancer les dossiers portant sur les enjeux qui touchent la circonscription de Montmagny—L’Islet—Kamouraska—Rivière-du-Loup. » Bernard Généreux estime être en mesure de compter sur sa proximité avec ses collègues, avec lesquels il milite et discute chaque semaine depuis les cinq dernières années.