Dans le cadre du mois de champignons, les acteurs de ce milieu ont discuté des récentes avancées et des mois à venir. Un outil d’évaluation de l’impact du mycodéveloppement a été développé et, plus que jamais, on misera sur le volet touristique.
Les intervenants ont convenu de se rencontrer une fois par année pour surveiller les avancements. Mardi dernier, ils ont discuté des nouveautés via Zoom pour plus de prudence en raison de la recrudescence de cas de COVID-19.
Il a été discuté, entre autres, de tout ce qui a été fait dans la dernière année en termes de communications : site web, réseaux sociaux, images visuelles ainsi que le plan d’action 2020-2025.
Il a aussi été question des résultats d’un projet de recherche qui a permis de développer un outil d’évaluation d’impact du mycodéveloppement.
« Ça fait 10 ans qu’on développe sans trop savoir mesurer les impacts réels de ce développement-là, car ça touche tellement de sphères. Ça nous a permis de prendre une photo de notre développement et le plan est de réutiliser cet outil de mesure aux deux ans, pour pouvoir suivre la progression », a dit Pascale G. Malenfant, chargée de projet au mycodéveloppement à la MRC de Kamouraska
Potentiel touristique
Par ailleurs, les efforts seront centrés sur le potentiel touristique en lien avec les champignons. Avec un festival, une exposition, des activités en forêt et un mois du champignon, la région se positionne de plus en plus avantageusement à cet effet.
« C’est un des volets sur lequel on va mettre beaucoup d’énergie. Le mycotourisme a un fort potentiel de retombées pour la région. Il y a beaucoup de choses qui se préparent », a ajouté Pascale G. Malenfant.
Des forfaits et voyages en lien avec le mycotourisme pourraient être développés.
On indique par ailleurs que le mois du champignon, sur le point de se conclure au Kamouraska, a connu beaucoup de succès. Un bilan est à venir.