La cause des enfants tatouée sur le cœur

Cette année, dans son bilan annuel, la DPJ met de l’avant le travail de ses employés plutôt qu’une problématique particulière à laquelle elle souhaite s’attaquer.

Au Bas-Saint-Laurent, la région a traité 2353 signalements à la DPJ, en légère hausse comparativement à l’an dernier (2278).

Il n’existe pas de données spécifiques au Kamouraska.

«Je ne prétends pas qu’il y a davantage de maltraitance, mais plutôt que le public est plus informé», estime Anne Duret, directrice du programme jeunesse et directrice de la protection de la jeunesse par intérim au CISSS du Bas-Saint-Laurent.

262 adolescents ont reçu des services dans le cadre de la justice pénale pour adolescents, ce qui représente une légère diminution par rapport à l’an dernier (276 en 2016-2017).

Par ailleurs, dans le cadre de leur 15e bilan annuel, les directrices et les directeurs de la protection de la jeunesse du Québec profitent de cette tribune pour rendre hommage aux intervenants et témoigner de leur précieuse contribution, leur engagement et leur passion dans leur travail.

Ils sont des milliers d’intervenants, chaque jour, à rencontrer des jeunes et leur famille pour les accompagner dans leurs difficultés et les aider à les surmonter. Au sein de notre société, ils font un travail exigeant, remarquable et essentiel.  «Ils travaillent aussi dans l’ombre, car ils ne peuvent pas parler des familles, des gens qu’ils accompagnent», ajoute madame Duret.

262 adolescents ont reçu des services dans le cadre de la justice pénale pour adolescents, ce qui représente une légère diminution par rapport à l’an dernier (276 en 2016-2017).