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Côte-du-Sud bien servi par les Libéraux selon Philippe Couillard

En tournée dans la circonscription avec son candidat Simon Laboissonnière, le premier ministre Philippe Couillard estime que Côte-du-Sud a bien été servi par les Libéraux.

Selon Philippe Couillard, les efforts déployés par son parti dans le domaine de la santé font la démonstration que les Libéraux ont travaillé dans l’intérêt des citoyens de Côte-du-Sud ces quatre dernières années. « Dans le Bas-Saint-Laurent, il y a 20 000 personnes qui ont trouvé un médecin de famille. Il y a un CHSLD en construction et de l’hémodialyse à Rivière-du-Loup. Les listes d’attente sont aussi les plus basses au Québec pour les urgences et les CHSLD. Ce n’est pas arrivé tout seul ça. C’est arrivé parce qu’on s’en est occupé », déclarait-il.

Il a également rappelé que l’hôpital de La Pocatière allait désormais être couvert par des anesthésistes de l’extérieur de la région. Cela sera possible, précisait-il, grâce à l’entente négociée avec les médecins spécialistes.

Économie

En matière d’économie, Philippe Couillard juge que celle-ci ne s’est jamais aussi bien portée dans Côte-du-Sud. Le matin, il profitait d’une visite à l’usine Bombardier de La Pocatière pour rappeler que son gouvernement avait réussi à négocier avec la Ville de Montréal et la STM la prolongation du contrat de remplacement des voitures du métro de Montréal. « On attend maintenant de voir si le fédéral participera. Si c’est le cas, ça diminuerait la facture du provincial. Mais pour s’assurer de leur participation, le contrat ne doit pas être enclenché. C’est pourquoi on se donne jusqu’en novembre pour voir si le fédéral embarquera. » Autrement, Québec assumera la facture seule, assure-t-il.

Au chapitre de la pénurie de main-d’œuvre, qui se fait durement sentir dans la région, Philippe Couillard croit qu’il faut continuer de miser sur la formation des jeunes, l’automatisation des procédés de production et la main-d’œuvre étrangère. « François Legault dit que les emplois ne sont pas assez payants et que c’est pour ça qu’on a de la difficulté à recruter. Ce n’est pas réaliste. Les salaires sont quand même bons ici », soulignait-il, ajoutant que la problématique relevait principalement de la démographie.