Dans le cadre des marches pour le climat de Rivière-du-Loup et de La Pocatière, auxquelles le candidat conservateur Bernard Généreux a participé, le député sortant a tenu à souligner les engagements concrets annoncés par le chef Andrew Scheer dans le cadre de son programme : Un vrai plan pour protéger l’environnement.
Lors des échanges, qui se sont déroulés dans l’harmonie et le respect, le candidat conservateur a dit partager la déception de certains citoyens qui constatent un manque de leadership du gouvernement libéral actuel de Justin Trudeau, qui selon lui a connu très peu de réalisations sur le plan écologique depuis son arrivée au pouvoir en 2015.
« Alors que le Canada s’était engagé, dans le cadre de l’Accord de Paris, à réduire de 30 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à celles de 2005, un rapport du ministère de l’Environnement publié en janvier 2019 a indiqué que le pays verrait ses émissions de GES réduites de seulement 19 % selon les projections les plus optimistes, en évaluant les mesures mises en place par le gouvernement libéral actuel », a dit M. Généreux.
Parmi les mesures proposées, un gouvernement conservateur entend notamment :
Des technologies, pas des taxes – les grands émetteurs auront à investir dans le développement de nouvelles technologies visant à réduire leurs émissions de GES. Le gouvernement aura un plan d’action pour l’investissement de nouveau capital de risque pour l’innovation de technologies vertes.
Un environnement plus propre et plus vert – offrant plus de choix aux consommateurs en s’attaquant au suremballage, en identifiant clairement les produits certifiés écoresponsables. Les propriétaires auront également accès à un crédit d’impôt remboursable de 20 % des coûts de rénovation admissibles entre 1000 $ et 20 000 $ visant à améliorer l’étanchéité énergétique de leurs habitations et une meilleure gestion des eaux usées.
Une lutte mondiale aux changements climatiques – visant à exporter les meilleures pratiques et innovations technologiques canadiennes afin de réduire les GES émis partout dans le monde, comme en Chine et aux États-Unis, deux pays qui émettent ensemble 25 fois plus que le Canada.