Le député de Côte-du-Sud Norbert Morin a accepté de se soumettre aux nouvelles règles de sécurité imposées aux élus de l’Assemblée nationale, dont l’ajout d’une caméra de surveillance et d’un « bouton panique », entre autres, à son bureau de Montmagny.
Le député a déclaré cette semaine au Journal de Québec que malgré qu’il ait été réfractaire à ces nouvelles règles, il s’était rangé à l’avis du Whip en chef du gouvernement. Son personnel de Montmagny a dit ignorer combien coûteront ces travaux et quand ils seront effectués.
Un important système de surveillance doit être installé dans les locaux de circonscription des 125 députés québécois, avait révélé le Journal de Québec. Pour Norbert Morin, pour qui « ce n’est pas son genre » d’installer de telles mesures, il était impossible d’aller de l’avant avec un tel projet de rénovation. Il souhaitait demeurer plus accessible. Il a finalement décidé de se conformer.