Le Journal de Québec a récemment publié son palmarès 2024 des écoles secondaires du Québec, réalisé en collaboration avec l’Institut Fraser. Pour les MRC de Kamouraska et de L’Islet, c’est sans surprise que le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière arrive en première position avec une note globale de 7,5/10, soit en 90e position sur 465 écoles. Il s’agit toutefois d’une baisse de 0,2 point par rapport l’année dernière pour le collège, qui se situait au 74e rang des écoles secondaires recensées au Québec en 2023.
L’École secondaire Chanoine-Beaudet fait quant à elle bonne figure, puisque sa note est de 7,3, ce qui lui octroie la 104e place au classement. C’est une augmentation de 0,3 point sur l’exercice précédent, ce qui représente une remontée dans le palmarès, elle qui était au 121e rang dans l’édition 2023.
Pour l’École polyvalente La Pocatière, la note est de 5,9/10 en 2024, pour une 232e place au total. L’an dernier, elle s’en tirait avec une note de 6,5/10, soit la 164e meilleure école du classement au Québec. Il s’agit donc d’une baisse notable pour la polyvalente pocatoise.
MRC de L’Islet
Dans la MRC de L’Islet, l’École secondaire de la Rencontre à Saint-Pamphile obtient un score de 5,3/10, soit une 315e place, une baisse de 0,6 point sur l’année précédente, elle qui se classait au 246e rang en 2023. Enfin, l’École secondaire Bon-Pasteur de L’Islet ferme la marche avec une note de 4,5/10, au 388e rang, ce qui démontre tout de même une amélioration par rapport à 2023, alors que l’école récoltait 4,1/10, se classant en 399e position au Québec.
Le palmarès, rappelons-le, classe les écoles secondaires publiques et privées en fonction d’une cote globale — soit une note variant entre 0 et 10 — élaborée par l’Institut Fraser. La cote attribuée à chaque établissement est principalement déterminée par les résultats des élèves aux examens du ministère de l’Éducation, réalisés 17 mois plus tôt. Il est important de noter que ces épreuves ministérielles avaient été annulées en 2020 et 2021 en raison de la crise sanitaire. De plus, les données de l’Institut Fraser prennent en compte le pourcentage d’élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage ou d’adaptation (EHDAA) dans chaque école, un facteur pouvant contribuer à expliquer la cote de l’établissement.