Pas de barrages routiers durant la relâche

Barrages policiers lors de la première vague de COVID-19. Photo : Archives

Les mesures sanitaires concernant la semaine de relâche annoncées par le gouvernement mardi soir ne changent à peu près rien en zone orange.

Toutefois, les zones rouges (comme L’Islet) pourront ouvrir leurs arénas et leurs piscines pour des activités libres en solo, en famille ou pour deux personnes. Les cinémas seront aussi ouverts pour que les jeunes puissent s’occuper dans leurs propres zones durant la semaine de relâche au 1er au 5 mars prochain, le tout à partir du vendredi 26 février. Les activités extérieures pourront se faire à huit personnes au lieu de quatre, partout au Québec. Rappelons que les musées et bibliothèques sont aussi ouverts, peu importe la zone.

Au sujet des enfants en vacances, il a rappelé que les grands-parents ne doivent pas garder leurs petits-enfants. « Je veux demander aux employeurs d’être accommodants », a-t-il ajouté.

Chalets

Au sujet des locations de chalets durant la relâche, ce n’est toujours pas recommandé, mais ce ne sera pas interdit.

« Il faut respecter les bulles familiales et le couvre-feu. On va demander aux policiers de surveiller de façon spéciale les endroits où il y a beaucoup de touristes », d’ajouter le premier ministre.

Au sujet des barrages routiers, il n’y en aura pas durant la relâche. « Après discussion, on s’est dit que c’était plus efficace de demander aux policiers de s’assurer que les deux principales consignes soient respectées, soit les couvre-feux et les bulles familiales », a dit François Legault.

Lundi 22 février, la seule région qui passera du rouge au orange est celle de l’Outaouais. L’Islet, dans Chaudière-Appalaches, demeure en zone rouge pour l’instant.

Au niveau des variants, on compte une augmentation du variant britannique au Québec, qui est plus contagieux, ce qui rend le gouvernement très prudent.