Au terme de l’exercice financier terminé le 31 décembre 2017, Promutuel Assurance du Lac au Fleuve est heureuse d’afficher une croissance de ses primes souscrites de 3 %, ce qui porte son chiffre d’affaires à 70 479 000 $.
Sur le plan de la sinistralité, l’année 2017 a été difficile pour Promutuel Assurance du Lac au Fleuve, particulièrement marquée par les inondations du printemps, une tornade dans la région d’Hébertville en juin, l’épisode de grêle en juillet dans la région du Saguenay Lac-Saint-Jean et les vents violents à l’automne. Ces événements ont causé de graves dommages. Ainsi, un total de 58 495 000 $ a été remis en indemnités au cours de la dernière année, ce qui porte le taux de sinistres à 84 %.
« La raison d’être de l’assurance est de protéger les biens les plus précieux de nos membres assurés et de leur procurer la tranquillité d’esprit dont ils ont besoin. Les nombreux sinistres survenus en 2017 ont rappelé avec force notre rôle premier et essentiel comme assureur : être là pour nos membres-assurés quand ils ont besoin de nous », a souligné le directeur général de Promutuel Assurance du Lac au Fleuve, M. Pierre Raymond, lors de l’assemblée générale annuelle des membres.
En raison des nombreux sinistres, la Société mutuelle affiche une perte d’assurance de 4 179 000 $ au terme de 2017. Cela ne compromet toutefois pas sa solidité financière. En effet, elle affiche un avoir des membres de 52 114 000 $.
Parmi les faits saillants de 2017, mentionnons l’ajout d’un sondage de satisfaction pour les membres assurés qui communiquent avec la Société mutuelle, le lancement du nouveau programme de télématique et la mise en place de l’Espace client, qui donne accès aux documents d’assurance en ligne.
Enfin, de nombreux dons et commandites ont été remis pour appuyer des causes et événements importants dans la région. « Au cœur de nos actions, de nos réflexions et de nos projets, il y a toujours ces liens privilégiés avec nos membres assurés, qui sont notre plus grande richesse. Notre ancrage dans les territoires que nous desservons nous permet de bien comprendre leurs attentes et leurs besoins », a conclu M. Raymond.