Bien que les festivités s’étendent sur toute l’année 2018, la fin de semaine dernière était le point culminant des fêtes du 125e de Saint-Germain. Deux journées bien remplies d’activités de tout genre, trois soirées uniques et de multiples moments d’émotions, de rires, de petits bonheurs et de complicité.
Bon nombre d’artistes ont mis leurs touches à ces fêtes du 125e. D’abord lors du Cabaret de Saint-Germain-des-Prés, au cours duquel nous avons voyagé vingt-cinq ans passés avec la voix d’Yvette Beaulieu, traversé l’océan avec Paul Lucien et continué vers l’Europe de l’Est avec Charles-Antoine Frandelion, sans oublier cette petite incursion coquine dans la vie de Marilie Bilodeau.
L’Orchestre Week-End s’est chargé de dégourdir nos invités le dimanche après-midi et le Voilà-Voilà a fait danser petits et grands samedi après la pluie.
La rue principale s’est transformée le temps d’un défilé en véritable musée de tracteurs antiques judicieusement sélectionnés pour surprendre les fins connaisseurs et épater les non-initiés. De la cuisinière aguerrie qui a soumis sa meilleure recette de dessert à la rhubarbe, du sportif qui a expérimenté une nouvelle version du soccer dans une bulle, des bricoleurs qui ont confectionné des vire-vents en passant par tous ceux et celles qui se sont exclamés devant les prestidigitateurs.
Déjà, dans la journée du vendredi, les perrons se peuplaient, les familles se réunissaient, le village se gonflait de gens venus de loin pour renouer avec leurs racines, leur village natal. La messe du 125e, co-célébrée par monseigneur Pierre Goudreault et des prêtres de Saint-Germain a offert un moment de recueillement aux paroissiens d’avant et de maintenant.
La fin de semaine s’est conclue par un feu de joie, de la jonglerie et des bulles géantes.