Le Parti québécois de Côte-du-Sud a tenu son assemblée générale et son congrès de circonscription le dimanche 19 mars dernier à Saint-Jean-Port-Joli.
En assemblée générale, c’est un exécutif complet qui a été élu par les membres. On y retrouve, à la présidence, M. Michel Forget, à la vice-présidence, M. Réjean Boulet, à la trésorerie, M. Michel Boivin, au secrétariat, Mme Frances Bordeleau. Les représentants jeunes sont Mme Ariane Cayer et M. Juan Mercier-Bélanger. Les conseillers sont M. Daniel Barbeau, M. François Boudreau, M. Michel Hudon, Mme Lynda Racine, M. André Simard et M. Noël Thériault.
Considérant la priorité qui doit être faite à la proximité des services du réseau de la Santé et des Services sociaux, l’assemblée générale a demandé un moratoire sur la transformation du réseau de la Santé et des Services sociaux et la mise en place de mécanismes d’évaluation de cette réforme afin d’en faire connaître les résultats.
Lors du congrès de circonscription, les membres ont amené une trentaine de propositions et d’amendements afin de bonifier le futur programme du Parti québécois. On y retrouve une proposition afin d’interdire l’exploitation du gaz de schiste, partout au Québec. On y retrouve également une proposition afin de confier au Vérificateur général du Québec le mandat de déterminer le véritable état des finances publiques, chaque année. Ces propositions seront acheminées au congrès régional de mai 2017, puis au congrès national de septembre 2017.
Dans son discours, le président, M. Michel Forget a indiqué que les défis restent entiers dans Côte-du-Sud. « Le projet d’oléoduc Énergie Est inquiète plusieurs citoyens, regroupements et municipalités de notre région. Norbert Morin a réussi à officialiser la diminution des services au CLSC de Saint-Jean-Port-Joli, et l’absence de vision, de compréhension et de compétence de M. Morin inquiète les intervenants quant à l’avenir de l’ITA de La Pocatière. De plus, les entreprises manufacturières, dont celles des MRC de Montmagny et de L’Islet éprouvent de plus en plus de difficultés à recruter et à conserver de la main-d’œuvre qualifiée », concluait-il.