Une semaine des tout-petits plus visible que jamais

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Le Kamouraska profite de l’année plus difficile en raison de la pandémie pour marquer de façon plus importante la cinquième édition de la Grande semaine des tout-petits.

Cette semaine est historiquement soulignée dans la région depuis cinq ans. Cette fois, COSMOSS souhaite qu’elle soit plus visible.

« La santé des tout-petits, ce n’est pas juste le travail des CPE, mais de toute la société. Avec les derniers mois, c’est le moment idéal de démontrer que l’on a la cause à cœur », a dit Stéphanie Sénéchal, agente de concertation chez COSMOSS Kamouraska.

La Grande semaine des tout-petits vise à donner une voix aux quelque 530 000 tout-petits au Québec. Puisque nos tout-petits sont les adultes de demain, donnons à chacun d’entre eux une chance égale de se réaliser pleinement et de devenir des adultes épanouis et engagés. La 5e édition de la Grande semaine des tout-petits est réalisée par le Collectif petite enfance, une organisation nationale pour la petite enfance issue d’une collaboration de partenaires engagés. Ces organisations ont un objectif commun qui les rassemble et les inspire : faire de la petite enfance une priorité de société au Québec.

Ainsi, différentes actions seront menées dans les CPE et les écoles, comme des concours de dessins, des cartes postales pour les personnes âgées, des lectures de contes, bref des activités qui n’incluent aucun rassemblement.

« Au départ, nous voulions faire une grande marche au Kamouraska, mais on ne peut pas. Toutefois, il y aura une action collective. Nous demanderons aux familles d’envoyer des photos représentant la petite enfance et nous ferons une œuvre collective », d’ajouter Stéphanie Sénéchal.

Le but sera de mettre en valeur les initiatives qui font la promotion de la petite enfance du 15 au 21 novembre.

« L’idée c’est aussi d’inviter les gens à se questionner sur ce qu’ils font en faveur de la petite enfance, chacun dans son milieu, et qu’ils peuvent me contacter pour aller plus loin dans la réflexion », conclut Stéphanie Sénéchal.