Au tour d’Yves Tardif de plaider coupable dans l’affaire de voies de fait contre des aînés à la résidence Sainte-Hélène de Sainte-Hélène-de-Kamouraska.
Il a reconnu avoir donné un coup à la jambe d’une résidente et donné une «pichenotte» à la tête d’une autre, selon Radio-Canada.
Le juge l’a condamné à une absolution conditionnelle et il devra suivre plusieurs conditions.
Sa conjointe Ginette Landry avait aussi récemment plaidé coupable à une accusation similaire. Leur employée Sylvie Dumais connaîtra son verdict vendredi prochain.