L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent compte maintenant onze jumelages

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Après deux ans et demi d’implantation, L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent récolte de belles retombées dans le milieu agricole.

Ce sont 11 jumelages qui ont été complétés avec succès et neuf ententes de jumelage actuellement en négociation. L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent se démarque ayant à son actif 10 % des jumelages réalisés à l’échelle de L’ARTERRE au Québec depuis les débuts du service en 2018. Considérant son implantation récente sur le territoire du Bas-Saint-Laurent, L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent a su faire sa place dans le secteur agricole.

Plus de 245 personnes, agriculteurs et aspirants agriculteurs ont bénéficié du service de jumelage et d’accompagnement personnalisé.  En plus de ces inscriptions au service, L’ARTERRE a enregistré une hausse marquée des demandes d’informations concernant leur service au courant de la dernière année.

 Un intérêt pour vivre en région et pour l’agriculture se fait sentir déjà depuis quelques années et n’a cessé d’accroitre depuis le début de la pandémie. « Le contexte de la pandémie a certainement favorisé l’intérêt d’un retour en région », soulignent d’une même voix les agents de maillage Jonathan Gagné Lavoie et Jean-Philippe Mainville.

La majorité des gens qui ont sollicité les services d’accompagnement avaient déjà un projet en tête bien avant la pandémie. « La situation actuelle et l’accompagnement de L’ARTERRE donnent l’impulsion nécessaire pour concrétiser leur projet », ajoute Jonathan Gagné Lavoie, agent pour le secteur EST du Bas-Saint-Laurent. « La cession et l’acquisition d’une entreprise agricole sont l’aboutissement d’un long processus de réflexion et de travail, et ce autant de la part des cédants et des aspirants.

Le processus de renouvellement de L’ARTERRE au Bas-Saint-Laurent est déjà enclenché puisque les ententes permettant sa mise en place viennent à échéance en octobre 2021.

Pour des raisons de confidentialité des dossiers, L’ARTERRE ne partage que les données régionales, a-t-on précisé, ajoutant que les services sont très sollicités au Kamouraska.

Source : L’ARTERRE