Écoles : pas besoin de masques en classe dans Kamouraska-L’Islet

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Kamouraska et L’Islet échappent à la nouvelle directive qui prévoit que les jeunes du primaire et du secondaire doivent porter le masque dans leurs classes pour la rentrée scolaire, en raison de l’inquiétude entourant le variant Delta.

Dans neuf régions, excluant Chaudière-Appalaches et le Bas-Saint-Laurent, le masque sera obligatoire en classe.

«On veut commencer l’année de manière prudente. La rentrée signifie une augmentation des contacts», a dit le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge. «Le but est de garder les élèves à l’école. On veut éviter le plus possible de basculer en enseignement à distance».

Les jeunes du Kamouraska et de L’Islet devront toutefois porter le masque dans leurs déplacements, les aires communes et les autobus, autant au primaire qu’au secondaire.

Comme prévu, il n’y aura pas de bulles-classes. Le parascolaire et le sport-étude sont de retour.

Rappelons qu’en formation professionnelle, au Cégep et à l’Université, les étudiants devront porter le masque tout le temps, peu importe la région.

Passeport vaccinal

Au secondaire, le passeport vaccinal sera requis pour la pratique de certaines activités physiques et sportives dans le cadre du parascolaire. Le passeport vaccinal sera aussi requis pour la participation à des parties ou à des compétitions interécoles dans le cas des programmes particuliers en sport et des programmes Sports‑études. À l’extérieur, les activités physiques ou sportives pour lesquelles un passeport vaccinal sera nécessaire sont celles impliquant des contacts fréquents ou prolongés. De plus, toutes les activités physiques ou sportives intérieures sont visées par le passeport vaccinal.

Gestion des cas à l’école

Tous les cas déclarés positifs à la COVID-19 dans les écoles feront l’objet d’une enquête épidémiologique. De nouveaux critères, dont le nombre de cas dans une région, si les élèves portent le masque ou non en classe, le taux de vaccination, guideront les équipes de Santé publique lors d’éclosions.

Des tests rapides seront également utilisés dès septembre.