Bernard Généreux exige du gouvernement Trudeau qu’il agisse pour contrer la crise du logement

Bernard Généreux.

La fin de l’année arrive en même temps qu’une inflation galopante. Bernard Généreux, député de Montmagny—L’Islet—Kamouraska—Rivière‑du‑Loup, est inquiet de voir le rêve de plusieurs Québécois de devenir propriétaires « mis en péril par le laxisme de Justin Trudeau », mais plus encore, de constater que plusieurs ont de la misère à simplement payer leur loyer à la fin du mois.

Comme si cela n’était pas assez, on s’attend à ce que les prix de l’immobilier augmentent encore de 9,2 % l’année prochaine, avant une hausse largement anticipée des taux d’intérêt.

« C’est Noël dans quelques jours. Nous serions normalement occupés à planifier le souper du réveillon et du Nouvel An, mais les Québécoises sont plutôt inquiets à savoir s’ils pourront acquitter leur loyer à la fin du mois. L’augmentation du coût de la vie ne se répercutera pas uniquement sur le coût de leur loyer et de leur capacité à le payer, mais aussi sur l’épicerie, l’essence, etc. Les politiques économiques de Justin Trudeau font en sorte que le quotidien du peuple québécois et canadien se déprécie, et trop de personnes voient leur rêve de devenir propriétaire disparaître », a affirmé le député Généreux.

Le chef des conservateurs a déposé une motion le 9 décembre à la Chambre des communes.

« Nous exigeons du gouvernement Trudeau qu’il rende des comptes et qu’il s’attaque enfin à la crise du logement. Il est temps d’empêcher les investisseurs étrangers d’acheter des biens immobiliers canadiens et de faire grimper les prix alors que de nombreuses maisons restent vacantes, de mettre à disposition des propriétés fédérales pour assurer la construction de nouveaux logements et de faire en sorte que les libéraux abandonnent leur projet de taxer la vente de maisons. Que vous soyez déjà propriétaire, ou que vous soyez un locataire qui espère le devenir, les conservateurs se battront pour protéger votre maison et votre avenir », a conclu le chef de l’opposition officielle et chef des conservateurs, M. Erin O’Toole.

Source : Bernard Généreux, député