À quelques jours du scrutin, le Parti Québécois de Côte-du-Sud dresse son bilan de la campagne. Voici un résumé des engagements pris dans divers domaines :
- Étendre les heures d’ouverture des blocs opératoires pour rattraper les retards liés au délestage ;
- Abolir pour de bon le recours aux agences de placement privées et réintégrer les travailleurs ;
- Abolir le temps supplémentaire obligatoire (TSO) ;
- Abolir les horaires de faction pour les ambulanciers ;
- Financer massivement les organismes communautaires à la mission (460 M$ par année) ;
- Investir massivement (3 G$ par année) pour les soins à domicile ;
- Protéger les programmes particuliers des cégeps publics en région ;
- Diminuer l’analphabétisme en offrant une compensation financière pour les formations ;
- Instaurer la PasseClimat, un titre de transport annuel (365 $) donnant un accès illimité à tous les réseaux de transport en commun au Québec (autobus, métro, tramway, traversiers) ;
- Rétablir la subvention à l’achat d’un véhicule électrique neuf à 8000 $ ;
- Augmenter à 80 % des coûts d’achat et d’installation le soutien financier à la mise en place d’infrastructures de recharge dans les bâtiments existants ;
- Aider celles et ceux qui en ont réellement besoin via une allocation de 1200 $ (pour revenus inférieurs à 50 000 $) ou de 750 $ (pour revenus entre 50 000 $ et 80 000 $) ;
- Compléter le réseau des CPE pour avoir, enfin, un enfant une place ;
- Créer 25 000 logements sociaux en 5 ans ;
- Cibler la régionalisation de 50 % des nouveaux arrivants ;
- Lever les barrières fiscales qui dissuadent les gens de 60 ans et plus à demeurer au travail.
De plus, la grande priorité de Michel Forget sera de travailler à inverser la tendance à la baisse de la démographie dans la circonscription.
« Témoignant un nationalisme assumé, le Parti Québécois est le seul à proposer des mesures qui feront, réellement, arrêter le recul du français. Côte-du-Sud doit cesser de reculer et doit se mettre à avancer. Plusieurs dossiers n’ont pas avancé au cours des quatre dernières années. On parle ici de reculs et d’occasions manquées. Ainsi, la question de l’urne au Québec est “Voulez-vous une opposition forte ?”, et la question de l’urne dans Côte-du-Sud est “Qui est le mieux outillé pour vraiment représenter la population ?”. Force est de constater que, durant cette campagne, le candidat de la CAQ nous a apporté les mêmes réponses insatisfaisantes que nous donnait Marie-Eve Proulx et que le gouvernement a alloué 100 M$ (dans le dossier de la médecine vétérinaire) à un comté traditionnellement associé au Parti Québécois », a rappelé Michel Forget, candidat du PQ.
Source : Michel Forget, candidat du PQ