Revue de l’année 2023 : Mai

Les ventes d’actifs au cœur de l’AGA du CDBQ

Il était difficile de passer sous silence les ventes d’actifs réalisées au cours de la dernière année par le Centre de développement bioalimentaire du Québec (CDBQ), lors de son assemblée générale annuelle. Celles-ci permettaient notamment à l’OBNL d’éviter un déficit, et de terminer son année financière 2022 avec un excédent des plus appréciables. L’excédent des produits par rapport aux charges se chiffrait à 2 962 403 $. À titre comparatif, l’OBNL enregistrait un déficit d’opération de 91 082 $ en 2021.

Le Salon des métiers fait le plein pour sa deuxième édition

Une quarantaine de kiosques, et environ 400 élèves provenant des écoles primaires environnantes de La Pocatière. Le Salon des métiers de l’école Sacré-Cœur faisait le plein pour sa deuxième édition, après un arrêt pandémique de quatre ans. Les exposants avaient également bien compris à qui ils s’adressaient. Pratiquement tous les kiosques avaient un petit quelque chose de ludique et d’interactif à présenter pour capter l’attention des enfants. L’objectif du Salon des métiers était de semer une graine sur les possibilités de métiers futurs qui s’offrent aux 400 enfants de quatrième, cinquième et sixième année des écoles primaires du secteur de La Pocatière, dans un avenir plus rapproché qu’on pourrait le penser.

De gros défis attendent l’ITAQ dans la revitalisation de la Ferme-école Lapokita

Les défis techniques, patrimoniaux et organisationnels n’avaient d’égal que les sommes à investir. L’Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ) s’apprêtait à injecter l’équivalent de 70 M$ en infrastructures à son campus de La Pocatière. La Ferme-école Lapokita, qui absorbait une bonne partie de l’enveloppe, serait modernisée au maximum au terme de l’exercice. On prévoyait refaire la coquille extérieure de la vacherie, construire une nouvelle vacherie et un nouveau centre équestre, dont le bâtiment actuel serait à terme démoli. Une réhabilitation de la meunerie en une forme de pavillon multiservice, et la destruction de la structure de la bergerie jugée trop détériorée étaient aussi du nombre des projets.

Le diocèse accueille un nouveau diacre

Alphée Pelletier était ordonné diacre permanent du diocèse de Saint-Anne-de-la-Pocatière. Il s’agissait de la première fois depuis quinze ans que quelqu’un recevait ce titre. M. Pelletier avait entamé ce chemin cinq ans auparavant, à la suggestion d’un autre diacre. Pendant quatre ans, l’homme marié et grand-père de quelques petits-enfants a appris à nourrir sa foi, à mettre en pratique le message de Jésus-Christ, et surtout, à déterminer ses intentions et sa manière d’incarner ce rôle.

Investissements dans les activités de plein air à Saint-Onésime-d’Ixworth

La pratique de certains sports allait devenir plus conviviale à Saint-Onésime-d’Ixworth. Une série d’investissements étaient annoncés aux Sentiers d’Ixworth, et d’autres étaient prévus par la Municipalité au chalet des loisirs. Aux Sentiers d’Ixworth, les derniers investissements en liste concernaient l’ajout de bancs de façon aléatoire dans les sentiers, ainsi que l’ajout d’un lutrin à l’accueil afin de recenser les gens qui entrent et qui sortent en cas d’urgence. Le chalet des loisirs, adjacent à la patinoire municipale, subirait une cure majeure de rénovation qui passerait par sa démolition, suivie de sa reconstruction.

La Ferme Pellerat nommée « Maître-Éleveur »

La Ferme Pellerat de Saint-Roch-des-Aulnaies était au nombre de la vingtaine de Maîtres-Éleveurs reconnus par Holstein Canada. Elle recevait cette distinction pour la première fois de son histoire. Employant 16 personnes, la Ferme Pellerat dispose d’un troupeau de 800 vaches, dont 400 en lactation. Le titre de Maître-Éleveur est décerné aux entreprises laitières reconnues pour maintenir des ratios élevés de vaches ayant des qualités recherchées au sein des troupeaux, dont une production élevée et une conformation remarquable, en plus de grandes compétences en reproduction, en santé et en longévité. Une ferme ne peut remporter ce prix plus d’une fois tous les 15 ans.

Une fermeture crève-cœur pour la buvette Ras L’Bock

Un volume de vente insuffisant dans un contexte économique difficile. L’expérience de la buvette Ras L’Bock à La Pocatière aura finalement été de courte durée. À la suite de la soirée du samedi 6 mai, les propriétaires mettaient la clé dans la porte de façon définitive, après à peine sept mois d’activité. Le trio d’entrepreneurs n’allait pas disparaître du décor pocatois pour autant, puisque son usine se trouve toujours dans le parc de l’Innovation. Il n’en demeure pas moins que pour cette microbrasserie habituée aux succès depuis son ouverture il y a près d’une décennie, l’expérience de la buvette, qui avait pris la place de l’ancien Café St-Louis sur la 4e Avenue Painchaud à l’automne 2022, s’est avérée ne pas être à la hauteur des attentes.

Les frères Bourgault maintenant personnages historiques

Un parc faisait déjà référence à leur surnom, les trois bérets, et bientôt, ce sera tout un espace patrimonial qui leur sera dédié. Entre-temps, la Municipalité de Saint-Jean-Port-Joli décidait de franchir le pas : identifier les frères Bourgault — Médard, André et Jean-Julien — à titre de personnages historiques; une désignation qui survenait au moment même de la célébration du centenaire de la sculpture sur bois, et du lancement d’un livre qui leur était consacré. La Vigie était pleine à craquer pour cette annonce. Amoureux de la sculpture sur bois, ethnologues, élus, et bien entendu trois des enfants des trois bérets : André-Médard, fils de Médard Bourgault, ainsi que Nicole et Pierre, enfants de Jean-Julien Bourgault, étaient au rendez-vous.

Deux autres récompenses pour Maxime Paradis

Le rédacteur en chef et journaliste de l’hebdomadaire Le Placoteux Maxime Paradis était coiffé de deux autres récompenses lors des derniers Grands prix des hebdos, gala annuel organisé depuis 1949 par Hebdos Québec. Le rédacteur en chef remportait un premier prix dans la catégorie Éducation, pour les hebdos du Groupe 1 (36 pages ou moins), avec l’article Cégep de La Pocatière : Le tout premier mannequin pédiatrique entre en scène. Il raflait ensuite la deuxième place dans la catégorie Dossier/Reportage, toujours chez les hebdos du Groupe 1, avec la série d’articles Changer le monde, un champignon à la fois.

Le dernier bâtiment de la tannerie de Saint-Roch finalement démoli

Une page d’histoire se tournait pour la communauté de Saint-Roch-des-Aulnaies avec la démolition du dernier bâtiment de la tannerie. La démolition des autres édifices de la tannerie avait été réalisée en 2020, mais l’opération s’était arrêtée momentanément en raison des mesures sanitaires imposées par Québec en lien avec la crise covidienne. Qui plus est, en raison de la présence d’amiante dans le dernier bâtiment, même si celle-ci ne représentait qu’un léger pourcentage, une intervention spéciale devait avoir lieu en collaboration avec la CNESST afin de restreindre la poussière de ce matériau avant la démolition finale de l’endroit.

Cure de jouvence pour le poste de transformation de La Pocatière

Hydro-Québec débutait à la mi-avril la mise à niveau de son poste de transformation à 120 kV (kilovolt) à La Pocatière. Voisin de l’usine Alstom, ce poste de transformation permet d’ailleurs une alimentation directe en électricité à la multinationale française. Évaluée à 9 M$, la mise à niveau consistait en la construction d’un nouveau bâtiment multifonctionnel, le remplacement de tout le système de câblage, des travaux d’excavation le long de la route 230 afin de refaire un massif de télécommunication, et le remplacement de certains éléments du poste, entre autres les transformateurs.

La Régie Kamouraska-Ouest suspend les sauvetages nautiques

La Régie intermunicipale en protection incendie du Kamouraska-Ouest prenait la décision de suspendre temporairement les sauvetages nautiques sur le fleuve et sur les plans d’eau de son territoire, le temps de connaître les recommandations du ministère de la Sécurité publique en la matière. La Régie intermunicipale en protection incendie du Kamouraska-Ouest était la seule brigade de pompiers à faire du sauvetage nautique dans tout le Kamouraska. Elle avait développé cette compétence en raison de la présence du fleuve Saint-Laurent, de la rivière Ouelle, et de nombreux lacs sur son territoire, dont le lac Saint-Pierre et le lac de l’Est à Mont-Carmel. Cette particularité figurait même dans le schéma de couverture de risque adopté en 2020, ce qui avait motivé à l’époque l’achat d’une embarcation.

Un étudiant crée un dispositif de détection contre l’incontinence

Émile Raymond, premier étudiant-chercheur de l’histoire de Solutions Novika, créait de A à Z ce qui semblait encore impossible : un détecteur de selles et d’urine dans les couches des usagers en milieu hospitalier. Ce petit dispositif simple d’usage était même coiffé de deux récompenses, en plus d’avoir prouvé une certaine fiabilité en CHSLD. L’idée à l’origine de ce projet était le fruit d’une collaboration entre le programme d’études d’Émile Raymond, technologie du génie physique, et celui de soins infirmiers au Cégep de La Pocatière. Finissant au sein du profil recherche-études, le jeune homme de Saint-Denis-De La Bouteillerie travaillait depuis un an à développer un prototype autour de cette idée, à la suite de sa sélection comme étudiant-chercheur par Solutions Novika. Son projet lui a valu deux seconds prix : le premier décerné le 8 mai dernier par l’Association pour la recherche au collégial, et accompagné d’une bourse de 1250 $, et l’autre attribué dans le cadre du volet Nature et technologie par le Fonds de recherche du Québec.

Accro de la Techno passe en mode 2.0

Une aide financière de 105 000 $ sur deux ans, accordée par le gouvernement du Québec, permettait à l’organisme Accro de la Techno de déployer son initiative 2.0. Une partie de cette somme devait aussi servir à l’acquisition d’équipements pour offrir des ateliers de fabrication numérique par découpe laser dans les écoles. L’initiative Accro de la Techno 2.0 cherche à développer des ateliers et des trousses bâtis autour de cinq parcours d’apprentissage : l’électricité et l’électronique, l’optique et la lumière, la mécanique, la pensée informatique, et la fabrication numérique.

Une année 2022 positive et active pour DELP

Développement économique La Pocatière (DELP) présentait un bilan financier positif pour 2022 lors de sa dernière assemblée générale annuelle. La vitalité économique du milieu pocatois dans la dernière année transparaissait aussi dans le rapport d’activités. Ils étaient plus d’une vingtaine de membres à découvrir les états financiers qui levaient le voile sur un excédent des produits par rapport aux charges de 93 133 $.

La MRC de L’Islet éprouve des problèmes de rétention de personnel

À la suite de l’annonce du départ du directeur général Patrick Hamelin, la MRC de L’Islet annonçait être aussi à la recherche d’un technicien en évaluation foncière, d’un directeur du service de transport de personnes, d’un conseiller à l’attraction de la main-d’œuvre, d’un coordonnateur à la gestion des cours d’eau, et d’un agent de développement économique. L’ancienne préfète Anne Caron expliquait cette situation par la réalité du secteur de l’emploi, mais également le problème de pénurie de main-d’œuvre. La compétition dans le domaine municipal était aussi évoquée comme autre facteur expliquant ce problème de rétention de main-d’œuvre.

Des chauves-souris qui mobilisent plus qu’elles ne révulsent

Contre vents et marées, Mélanie Lévesque, enseignante en sciences et mathématique à l’école secondaire Chanoine-Beaudet de Saint-Pascal, voulait sensibiliser sa soixantaine d’élèves de deuxième secondaire au rôle essentiel des chauves-souris dans le maintien de la biodiversité, tout en éradiquant quelques fausses croyances au passage. Le tout a donné naissance à un projet entrepreneurial visant à créer des nichoirs pour ces mal-aimées. Le projet était à ce point une réussite qu’il se distinguait à l’échelle locale et régionale du Défi OSEntreprendre, dans le volet scolaire pour le secondaire premier cycle. Un des aspects du projet consistait à partager les connaissances acquises sur les chauves-souris avec des enfants du CPE Pitatou de Saint-Pascal. Celui-ci se concrétisait le 9 mai en avant-midi, devant l’école secondaire Chanoine-Beaudet.

Une nouvelle caserne à Saint-Aubert

La première pelletée de terre pour la construction de la nouvelle caserne de pompiers de la municipalité de Saint-Aubert, évaluée à 3,3 M$, avait lieu le mardi 16 mai. Le dossier était dans l’air depuis plus de 20 ans déjà, mais trois années de travail acharné par les autorités municipales ont été nécessaires pour attacher les ficelles de cet ambitieux projet. Fonctionnelle depuis novembre, la caserne se trouve au coin de la route 204 et de la rue des Érables.

Le Marché de Saint-Denis prend une pause

Activité phare à Saint-Denis-De La Bouteillerie durant la saison estivale, le Marché des produits alimentaires et artisanaux prenait une pause, après un bref retour l’an dernier. Selon le président du comité de développement Christian Lévesque, il n’était pas garanti que l’événement revienne non plus. La difficulté à trouver une ressource pour organiser l’événement expliquait principalement cette décision.

Le chemin du Roy à sens unique

Le chemin du Roy Est, faisant la jonction entre la route 132 et la route de l’Église à Saint-Jean-Port-Joli, devenait un sens unique. Le projet avait été initié par certains citoyens demeurant sur cette rue, car durant la saison estivale, où le tourisme est abondant, plusieurs difficultés en lien avec la circulation et le stationnement y étaient dénombrées. La Municipalité s’était donc résolue à demander l’avis des résidents touchés afin d’améliorer la situation. Après l’analyse des quelques idées proposées, une consultation écrite a été envoyée à tous les citoyens du secteur, leur demandant s’ils étaient d’accord pour modifier le chemin du Roy Est en sens unique allant de la route 132 à la route de l’Église, avec seulement un côté disponible pour le stationnement. Le résultat a finalement été sans équivoque, le projet étant approuvé par 75 % des résidents interrogés.

Vincent Bérubé souhaite un pavillon universitaire

La médecine vétérinaire était morte et enterrée à La Pocatière, mais le maire Vincent Bérubé rêvait toujours d’un pavillon universitaire pour sa ville. Ce souhait décomplexé était exprimé en marge de la relance du Comité attractivité – Institutions – Ville de La Pocatière, auquel se greffaient des acteurs du milieu scolaire pocatois, du primaire au collégial. Vincent Bérubé parlait alors d’une relance, car un comité semblable, qui ratissait un peu moins large, avait été mis sur pied à l’époque de l’ancien maire Sylvain Hudon. Ses travaux avaient été suspendus avec la pandémie. Le maire Bérubé souhaitait travailler à améliorer le positionnement de La Pocatière comme petite ville campus dans l’Est-du-Québec.

Le Jardin floral sur le point de compléter une agora naturelle

Une agora aménagée dans un amphithéâtre naturel prenait forme progressivement au Jardin floral de La Pocatière. Aménagée derrière la pépinière du Jardin floral, l’agora pourrait accueillir à terme 50 à 100 personnes assises et debout, sur trois paliers. La configuration s’articule autour de la pierre de la montagne du Collège qui y est partiellement découverte. Outre un petit pavillon sur le premier plateau, le Jardin floral ne disposait pas d’infrastructure pour rassembler des groupes de grandes tailles, pour assister à des conférences, ou encore à des spectacles en plein air. Or, il s’avérait que la demande pour accueillir de tels groupes, par exemple des autobus de touristes, serait plus importante qu’on pourrait le croire, ce qui a motivé ce projet.

Une dame de Saint-Pacôme souhaite être ordonnée diacre

Malgré une fin de non-recevoir de la part de Mgr Pierre Goudreault, Mme Ginette Jetté de Saint-Pacôme, anciennement agente de pastorale, souhaitait être ordonnée diacre, bien que ce ministère n’ait encore été conféré à aucune femme laïque au sein de l’Église catholique. Alors que les prêtres sont de plus en plus rares, et qu’ils ont déjà à leur charge plusieurs paroisses chacun, elle estimait que des femmes ordonnées diacres pourraient très bien venir « en renfort », puisque la fonction permet notamment de célébrer des mariages et des baptêmes, en plus d’agir en concertation avec le curé dans la vie de la paroisse.

Le recrutement des pompiers devenu plus difficile dans la MRC de L’Islet

La pénurie de main-d’œuvre qui touche plusieurs secteurs de l’économie au Québec n’épargnait pas les services incendie des municipalités de la MRC de L’Islet. Ceux-ci éprouvaient en mai dernier de la difficulté à recruter de nouveaux pompiers volontaires. Le directeur du Service de sécurité incendie de la MRC de L’Islet et de la Municipalité de Saint-Damase, Langis Gamache, était de ceux qui admettaient que le recrutement était plus ardu depuis quelques années. En réponse, les services incendie de la MRC de L’Islet augmentaient les salaires des pompiers, en plus de payer désormais les formations nécessaires. Cette situation rendait l’entraide plus névralgique que jamais entre les différents services de sécurité incendie de la MRC de L’Islet.

La Fondation de l’Hôpital veut une IRM à La Pocatière

La Fondation de l’Hôpital de Notre-Dame-de-Fatima souhaitait doter le centre hospitalier pocatois d’un appareil d’imagerie par résonance magnétique, communément appelée IRM. La résolution adoptée lors de l’assemblée générale annuelle du 24 mai faisait suite à des discussions informelles tenues sur le sujet avec le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent. En bonne santé financière, la Fondation terminait son exercice financier annuel avec un excédent des produits sur les charges de plus de 100 000 $, plus précisément de 109 802 $. Quant à eux, l’actif et le passif de la Fondation avoisinaient presque les 2 M$.

La fondatrice de La Pommetterie tire sa révérence

Douze ans que Diane Lavoie présidait et dirigeait, bénévolement et à bout de bras, les destinées de La Pommetterie à Saint-Gabriel-Lalemant. En mai dernier, elle envoyait sa lettre de démission au conseil d’administration de l’OBNL qu’elle a fondé, lasse d’attendre une relève qui ne se pointait pas. Elle souhaitait que l’électrochoc de son départ stimule la communauté à poursuivre ce projet qui a pris racine en 2007.

Des jeunes Sudcôtois au service de l’environnement

Dans le cadre de leur dernière année d’écoformation avec le programme Le Semoir : Verger de l’évolution, ayant eu lieu dans la municipalité de Sainte-Louise, les jeunes de sixième année de l’école primaire des Hauts sommets de Sainte-Perpétue-de-L’Islet faisaient paraître l’un des premiers guides des bonnes pratiques environnementales pour les véhicules hors route pour la Côte-du-Sud, Une pratique responsable du VHR pour la protection de notre belle nature. L’objectif du guide consistait à ce que les usagers des sentiers de véhicules hors route comprennent qu’ils doivent faire attention à la nature.

Les infirmières diplômées réussissent bien l’examen de l’OIIQ

Si l’examen de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), qui permet l’accès à la profession par la délivrance d’un permis d’exercer, donnait du fil à retordre depuis quelque temps aux finissantes du domaine, les techniciennes diplômées du Cégep de La Pocatière faisaient exception à la règle. Selon les données fournies par la conseillère en communication numérique et relations médias de l’établissement, le taux de réussite des finissantes du Cégep à cet examen a toujours été supérieur à celui de la moyenne nationale depuis 2017, et cela, peu importe la taille de la cohorte. En 2019 et 2021, ce taux atteignait même 100 %. Lors de l’examen de septembre 2022, bien que le taux de réussite des finissantes ait diminué à 64 % — le plus bas depuis 2017 —, ce dernier demeurait supérieur à la moyenne nationale par dix points de pourcentage.

La Crème Rit de Rivière-Ouelle changera de mains

Le célèbre commerce de Rivière-Ouelle se spécialisant dans la crème molle changera de mains dès 2024. En effet, le propriétaire de l’endroit depuis 25 ans, Rémi Beaulieu, acceptait en mai l’offre des hommes d’affaires Félix Bernier et Émile Alain qui possèdent depuis trois saisons le Blizzaroïde Bar laitier givré situé à Saint-Pascal. À l’exception d’un changement de nom, les propriétaires ne comptaient pas apporter trop de modifications au commerce, afin de respecter l’essentiel du travail accompli par M. Beaulieu au fil des ans.

Premier rassemblement des Gens d’affaires de Saint-Pascal en trois ans

Le comité d’animation des Gens d’affaires de Saint-Pascal reprenait du service en tenant une soirée spéciale pour ses membres — la première depuis 2019 — dans le lobby du concessionnaire Olivier Kamouraska Chrysler. L’activité cocktail, souper et soirée dansante rassemblait plus de 90 personnes, en plus de prendre les allures d’un événement hommage à Me Claude Gagnon, notaire, président des Gens d’affaires de Saint-Pascal de 2000 à 2020, le plus long mandat de l’histoire de l’association. Amis, membres de la famille, directeurs généraux passés et actuel du journal Le Placoteux, ainsi que le nouveau président des Gens d’affaires de Saint-Pascal Jean-Pierre Tirman ont rendu hommage à l’engagement de Me Gagnon au fil des ans par le biais d’une vidéo à la fois touchante et humoristique. Un voyage de pêche pour quatre personnes à la Pourvoirie du Lac Berval lui était aussi remis en guise de remerciement pour ses 20 années d’implication.

Roméo Bouchard, patriote du Kamouraska pour 2023

Dans le cadre de la 11e célébration locale de la Journée nationale des patriotes, le dimanche 21 mai, le Comité des patriotes du Kamouraska et la Société d’action nationale de Rivière-du-Loup remettaient le prix du patriote modèle de l’année à Roméo Bouchard, chroniqueur pour le journal Le Placoteux. Le comité lui décernait ce titre à la fois pour son patriotisme quotidien tenace depuis plus de 60 ans, et pour l’ampleur de sa vision englobant de nombreuses facettes de la vie nationale, notamment la défense du français, l’indépendance du Québec, la démocratie citoyenne, la protection de l’environnement, les énergies renouvelables et l’agriculture de proximité.