Isabelle D’Anjou, une ex-employée de la Résidence Marquis de Saint-Philippe-de-Néri, a reconnu sa culpabilité à trois chefs d’accusation de voies de fait à l’endroit de résidents vulnérables.
La preuve a démontré que plusieurs règles encadrant les soins n’avaient pas été respectées, et que Mme D’Anjou a employé des méthodes inappropriées pour gérer certaines situations.
Les victimes sont deux femmes de 73 ans atteintes de troubles cognitifs. Dans les deux cas, aucun rapport des incidents n’a été réalisé. Des collègues avaient dénoncé l’un de ces événements. La troisième victime est un homme de 72 ans atteint de troubles neurocognitifs. Encore là, rien n’a été consigné dans les rapports.
Isabelle D’Anjou avait été arrêtée en juillet 2024. Elle travaillait alors à la Résidence Marquis, un établissement qui a cessé ses activités depuis. La confection d’un rapport présententiel a été demandée. La cause reviendra devant le tribunal le 2 septembre.