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Deux conducteurs arrêtés pour capacités affaiblies à Saint-Jean-Port-Joli

Sûreté du Québec. Archives Le Placoteux.

Les policiers de la MRC de L’Islet ont procédé à deux arrestations distinctes en lien avec la conduite avec les capacités affaiblies, survenues à quelques jours d’intervalle à Saint-Jean-Port-Joli.

Le premier événement s’est produit le dimanche 4 mai, vers 10 h 30. Un citoyen a contacté les autorités pour signaler un conducteur soupçonné d’être en état d’ébriété, circulant sur le chemin Tour-du-Lac-Trois-Saumons, à Saint-Aubert. Rapidement déployés, les policiers ont ensuite localisé le véhicule en question sur la route 204, à Saint-Jean-Port-Joli, avant de procéder à son interception sur la rue Giasson.

Le conducteur, un homme dans la soixantaine résidant à Saint-Aubert, a été soumis à un test à l’aide d’un appareil de détection approuvé (ADA), qui s’est avéré positif à la présence d’alcool. Il a été immédiatement arrêté pour conduite avec les capacités affaiblies puis conduit au poste de la Sûreté du Québec pour subir un test à l’éthylomètre, qu’il a également échoué.

Son véhicule a été remisé et son permis de conduire suspendu pour une période de 90 jours. De plus, les policiers ont découvert que son permis n’était pas en règle en raison d’un paiement non effectué auprès de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ). Un constat d’infraction de 520 $ lui a donc été remis pour avoir conduit sans avoir acquitté les frais requis. Le dossier a été soumis au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP).

Une conductrice arrêtée

Le deuxième incident est survenu le mardi 6 mai, vers 11 h. À la suite d’un appel logé par un citoyen, les policiers de la Sûreté du Québec sont intervenus dans un stationnement commercial de Saint-Jean-Port-Joli, où ils ont localisé un véhicule suspect immobilisé. Sur place, ils ont rencontré une conductrice dans la trentaine, résidant également dans la localité et ont eu des motifs raisonnables de croire qu’elle conduisait avec les capacités affaiblies par la drogue.

La conductrice a été arrêtée, puis conduite au poste de la MRC Kamouraska afin de se soumettre à une évaluation complète par un agent évaluateur en reconnaissance de drogues (AERD), comme le prévoit le protocole en pareille situation.

Tout comme dans le premier cas, le véhicule a été remisé et son permis de conduire suspendu pour une durée de 90 jours. De plus, en raison de l’état général du véhicule, un avis de vérification mécanique a été signifié à la conductrice. Ce dernier exige que la voiture soit inspectée et réparée au besoin dans un garage mandataire de la SAAQ, sans quoi le droit de circuler sera retiré.