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Les saveurs du Kamouraska à l’honneur

Les chocolats de La Fée Gourmande de Kamouraska étaient au menu. Photo : Marc Larouche

Dans le grand hall de l’Hôtel Levesque de Rivière-du-Loup, les quelque 500 convives de la soirée régionale de Bienvenue Québec ont pu découvrir le Bas-Saint-Laurent sous toutes ses formes, incluant ses saveurs. Entre les effluves de porc braisé, les bouchées sucrées et les rires autour des kiosques animés, la région hôte a offert un voyage gustatif à la hauteur de sa réputation.

Le Kamouraska y a brillé avec panache. Les Aliments Asta de Saint-Alexandre ont proposé une boulette de porc à l’italienne nappée d’une sauce tomate riche et parfumée, pendant que Porc O’Rye, de Saint-Joseph-de-Kamouraska, faisait voyager les papilles avec un effiloché de porc mexicain relevé d’une salsa fraîche et d’un cheddar fumé au bois d’érable de la Fromagerie des Basques. Avouez que ça met l’eau à la bouche.

Et ce n’est pas fini. La chocolaterie La Fée gourmande, véritable ambassadrice du chocolat fin au Kamouraska, a séduit les amateurs de douceurs avec une sélection irrésistible : le Petit Caprice, l’Orchidée blanche, la Blanche au cœur noir et le Caramel Fleur de sel, quatre créations à la fois élégantes et décadentes qui ont su conquérir même les palais les plus exigeants.

Autour des stands, la soirée s’est transformée en véritable fête des sens. Un DJ assurait l’ambiance, tandis que le photomaton Quatre saisons de la SEPAQ attirait les curieux, immortalisant les sourires sous des décors inspirés du fleuve et des forêts régionales. La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk y tenait également un espace distinctif, invitant les visiteurs à découvrir son art, sa culture et sa présence vivante au cœur du territoire bas-laurentien.

Du tataki de bœuf au bleu bénédictin au blini de saumon fumé, en passant par les verrines colorées et les mini-arancini au canard, tout rappelait la richesse et la créativité culinaire d’une région qui sait recevoir. Et à voir les invités quitter la salle, sourire aux lèvres et carte d’affaires en main, on pouvait sentir que le Bas-Saint-Laurent avait, une fois de plus, su marquer les esprits et les papilles.