L’audition des deux plaintes portées contre la députée et ministre Marie-Eve Proulx par un de ses anciens employés n’aura pas lieu comme prévu. Une entente de principe est intervenue entre les parties.
Rappelons que des plaintes concernant du harcèlement psychologique au travail et sur le congédiement d’un ancien employé avaient été déposées par Christian Picard, ex-directeur des bureaux de circonscription de Côte-du-Sud.
Selon le Tribunal administratif du travail, une entente de principe sera présentée au tribunal, entente survenue à la suite d’une rencontre de conciliation. On ignore à quel moment le tribunal en prendra acte.
Lorsque l’affaire avait été rendue publique, le bureau de Mme Proulx avait indiqué que la ministre avait signé un engagement de confidentialité dans un processus d’enquête externe. Elle limitait alors ses commentaires au strict minimum par respect pour les procédures du tribunal administratif et les parties impliquées. Elle prévoyait présenter sa version des faits et disait vouloir collaborer pleinement avec les autorités compétentes pour démontrer que cette plainte serait non fondée.