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Un jeu de cartes éducatif pour Moisson Kamouraska

Moisson Kamouraska innove en matière d’éducation populaire. Photo : Courtoisie

Dans le cadre d’un 5 à 7 interactif tenu le 10 juillet, Moisson Kamouraska a dévoilé un nouvel outil de sensibilisation : un jeu de cartes éducatif inspiré des réalités vécues dans les banques alimentaires.

Conçu pour stimuler la discussion, remettre en question les préjugés et valoriser la solidarité, ce jeu s’adresse autant aux familles, aux milieux scolaires et aux organismes communautaires qu’à toute personne souhaitant mieux comprendre les enjeux liés à la sécurité alimentaire.

« Chaque carte raconte une situation réelle : un don de dernière minute, une période de pénurie, un geste de générosité. Moisson Kamouraska est fier de lancer un jeu qui permet de sensibiliser de manière ludique à l’aide alimentaire, à la lutte contre le gaspillage, et à l’importance de la solidarité », explique Mireille Lizotte, directrice de Moisson Kamouraska.

Un outil accessible et pertinent

Ce jeu s’inscrit dans une démarche d’éducation populaire chère à l’organisme qui souhaite rendre ses actions plus visibles, mieux comprises et plus participatives.

Au fil des parties, les participants sont invités à se mettre dans la peau de ceux qui œuvrent dans une banque alimentaire, à réfléchir aux enjeux sociaux, et à partager leurs points de vue dans un cadre bienveillant.

En plus d’illustrer une situation concrète, chaque carte pose une question éducative, ouvrant la porte à la discussion. Le jeu s’anime facilement, et crée des moments à la fois amusants et significatifs, que ce soit en classe, en famille, en milieu communautaire ou lors d’activités citoyennes.

Un projet né du terrain

Inspiré du quotidien des équipes de Moisson Kamouraska, ce jeu est le fruit d’une volonté de mettre en valeur les réalités vécues dans les banques alimentaires : les imprévus, les élans de générosité, les choix difficiles, les besoins humains.

« C’est un outil pour faire réfléchir, mais surtout pour rassembler autour d’une question essentielle : comment mieux nourrir notre monde, ensemble », conclut Mme Lizotte.

Source : Moisson Kamouraska