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Mairie de Saint-Alexandre : Nicolas Bradette se lance dans la course

Nicolas Bradette espère que les Alexandrins lui accorderont leur confiance pour le prochain mandat à la mairie. Photo : Courtoisie

Nicolas Bradette brigue la mairie de Saint-Alexandre, suite à l’annonce du départ d’Anita Ouellet-Castonguay après 16 ans à ce poste. Biologiste de formation et père de trois enfants, il dit vouloir contribuer à la vitalité de sa communauté. Employé du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, il souhaite mettre à profit son expertise et son implication citoyenne au service de la collectivité.

« Depuis quelques années, j’accorde une attention particulière à la politique municipale. J’ai maintenant la motivation de participer activement à la poursuite de la vitalisation de notre municipalité en valorisant l’écoute des citoyens, les consensus et la transparence au sein du conseil municipal », affirme le jeune homme de 36 ans, originaire de Sainte-Anne-de-Beaupré, qui a étudié entre autres à La Pocatière et qui habite Saint-Alexandre depuis 2021.

Les priorités de Nicolas Bradette sont de développer le cœur villageois, de renforcer la mise en valeur de l’église comme troisième lieu de rassemblement, et d’améliorer la sécurité dans ce secteur où se trouvent déjà l’école et la bibliothèque municipale. « L’idée est d’en faire un lieu attrayant, où les citoyens auront envie de se retrouver », explique-t-il, évoquant l’ajout éventuel de nouveaux services comme un café.

Sur le plan des infrastructures, le candidat entend travailler à la consolidation des réseaux d’aqueduc et d’eaux usées. Il souhaite également assurer la protection et la mise en valeur des milieux naturels autour du lac Morin, qu’il considère comme un atout important pour la municipalité.

Son profil de biologiste colore évidemment sa vision politique. Il insiste sur l’importance d’intégrer l’adaptation aux changements climatiques et le développement durable dans les décisions locales. « Je crois sincèrement que ces considérations doivent être prises en compte dans les grandes orientations municipales », dit-il, en mentionnant des pistes comme la plantation d’arbres, une gestion améliorée des eaux pluviales, et une utilisation plus responsable de l’eau potable. L’abordabilité des logements s’ajoute aussi à ses préoccupations, alors que plusieurs municipalités de la région connaissent une pression accrue sur le marché résidentiel.