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La Ligue de hockey Côte-Sud n’amorcera sa prochaine campagne que le 8 janvier prochain, pourvu que le volet 6 du protocole de retour au jeu d’Hockey Québec, qui prévoit la reprise des activités sur glace à 5 contre 5 soit en vigueur, tout comme la possibilité d’accueillir au moins 250 spectateurs dans les estrades.
C’est ce qu’ont décidé les gouverneurs du circuit lors d’une assemblée par visioconférence le jeudi 1er octobre dernier.
Le président du circuit, M. Vincent Drouin, a souligné que neuf équipes des dix du circuit seraient en action pour la saison hivernale, l’Impérial de Saint-Pascal ayant décidé de faire l’impasse sur cette prochaine campagne. Le calendrier de cette nouvelle saison, qui sera dévoilé ultérieurement, prévoit uniquement des rencontres intradivisions, jusqu’à la finale qui opposera les champions des deux sections.
Ainsi, chaque équipe de la section Est (Montmagny, La Pocatière, Saint-Jean-Port-Joli et Trois-Pistoles) disputera un calendrier écourté de neuf rencontres se terminant le 21 février. Il en sera de même dans l’Ouest (Saint-Damien, Saint-Charles, Lotbinière, Sainte-Marie et Saint-Joseph), où chaque équipe jouera à huit reprises.
Toujours dans l’Ouest, les équipes qui termineront en 4e et en 5e positions s’affronteront lors d’un match-suicide visant à déterminer celle qui affrontera la formation de tête de son groupe au premier tour des éliminatoires. Le premier tour des séries prévoit des affrontements 3 de 5 alors que les demi-finales et la grande finale seront des 4 de 7.
M. Drouin rappelle que ce scénario demeure sujet à changement, toujours en fonction des décisions de la Santé publique et de la mise en force, ou non, du volet 6 du protocole de retour au jeu d’Hockey Québec.
Les gouverneurs du circuit feront le point sur la situation lors d’une nouvelle rencontre qui aura lieu le 17 novembre prochain.



Le club Filoup et le sport-étude de l’école Secondaire de Rivière-du-Loup confirment que trois étudiants-athlètes, dont un du Kamouraska, ont réussi à se hisser parmi les athlètes de haut niveau en athlétisme parmi les 128 reconnus Espoirs provinciaux.
Le Pascalien Adam Beaulieu, qui est en secondaire 5, débute sa 5e année avec le club Filoup. L’athlète est un spécialiste du 400 m et du 400 m haies où il a pu monter sur la première marche du haut niveau qui en compte quatre (Espoirs, relève, élite & Excellence).

Au printemps dernier, le Défi Everest a dû faire preuve de créativité afin de proposer à la population une version revisitée de son concept. De là est née la toute première édition du « Mois de l’Everest Catherine Thériault » qui s’est terminé le 30 septembre dernier.
Ce sont plus de 1000 participants qui se sont inscrits à ce Défi Everest revisité où l’objectif était toujours le même : atteindre le sommet de l’Everest (8 848 m) par la marche en dénivelé, en équipe ou en solo, afin de récolter des fonds pour les organismes communautaires. La formule virtuelle du « Mois de l’Everest » aura permis à des grimpeurs de partout au Québec, du nord du Nouveau-Brunswick, jusqu’à Vancouver et même en France, de participer et de donner une saveur unique à l’événement.
« Nous avons voulu rendre le Défi le plus accessible possible en donnant la possibilité aux personnes intéressées de s’inscrire à coût modique. La mise en place de notre nouvelle application mobile a également permis à des personnes situées aux quatre coins du Québec de participer, et même au-delà des frontières, chose qui n’aurait pu être possible avec la formule traditionnelle du Défi », explique Yvan L’Heureux, président-fondateur du Défi Everest.
« Les administrateurs du “Mois de l’Everest Catherine Thériault” sont fiers de l’édition spéciale du Défi 2020. Nous avons fait la démonstration qu’il est toujours possible d’organiser notre temps et nos esprits pour laisser place à la créativité et à la rêverie qui ont permis à des centaines de participants d’aller au-delà d’eux-mêmes et d’apporter une contribution personnelle et unique au mieux-être des organismes d’entraide de leurs milieux », poursuit M. Régis Malenfant, vice-président du Défi Everest.
Le bilan préliminaire s’élève à plus de 110 000 $ amassés, montant qui sera distribué aux organismes bénéficiaires du Défi Everest. « Il était primordial pour nous de maintenir nos événements, peu importe la formule, pour maintenir l’aspect caritatif de notre mission. L’année 2020 est difficile et les organismes ont besoin plus que jamais de recueillir des dons pour maintenir leurs activités et leur permettre de voir au bien-être de nos communautés » ajoute Yvan L’Heureux. Rappelons que le Défi Everest assume l’ensemble des frais administratifs et que 100 % des dons amassés par les équipes sont distribués à l’organisme de leur choix.
Pendant tout le « Mois de l’Everest Catherine Thériault », l’organisation a été témoin de nombreuses et belles histoires, et ce, partout au Québec. La page Facebook du Défi s’est transformée en un lieu de rassemblement virtuel où les participants partageaient fièrement leur progression et leurs accomplissements. Photos, vidéos, témoignages, l’humain a véritablement été au cœur de cette édition malgré la distanciation.
2021
L’organisation du Défi Everest planche déjà pour l’édition 2021. Les idées sont multiples et plusieurs belles options sont déjà en train de se construire. L’équipe travaille actuellement sur une version virtuelle améliorée tout en gardant la possibilité de tenir des éditions physiques, possiblement dans de nouvelles villes. Les grimpeurs sont donc invités à demeurer à l’affût pour connaître tous les détails des prochains projets.
D’ici à la prochaine édition, l’application mobile du Défi Everest demeure disponible en mode pratique pour ceux et celles qui aimeraient continuer leurs entraînements en dénivelé et suivre leur évolution.

En avril dernier devait avoir lieu la remise des prix 2019 de l’Association québécoise Quarter Horse (l’AQQH), regroupant des éleveurs et des compétiteurs de chevaux de race Quarter Horse. Malheureusement, en raison de la pandémie, cette remise a été annulée.
Chaque année, l’AQQH organise des concours réunissant des éleveurs et des compétiteurs de haut niveau, en provenance du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. L’an passé, les concours se sont déroulés au Centre Multifonctionnel Richardson à Sorel-Tracy et au Complexe équestre de Bécancour.
Une fois l’année terminée, l’association compile les résultats et annonce les champions et/ou championnes dans chacune des catégories. Élisabeth Alain de Saint-Pascal a eu l’heureuse surprise de recevoir récemment par colis le prix de Championne Réserve en Équitation Western Jeune. C’est avec une grande fierté qu’Élisabeth a reçu ce prix puisqu’il est l’aboutissement souhaité depuis quelques années et le résultat des efforts et du travail réalisés avec sa jument Are U Lonsum Tonight, avec l’aide de son entraîneuse Rébecka Michaud. Cette récompense culmine avec brio son passage dans la catégorie Jeune.
Le Big Wolf’s Backyard qui devait se tenir à Rivière-Ouelle a été annulé par les organisateurs en raison de la recrudescence du virus dans les dernières semaines et des récentes annonces gouvernementales.
L’événement devait initialement se tenir la fin de semaine du 18 juillet et avait déjà été reporté une première fois.
« Nous avons cru jusqu’au bout que cette première édition du Big Wolf’s Backyard pouvait être possible, mais force est de constater que les astres ne sont pas bien alignés cette année », indique Yvan L’Heureux, instigateur du projet.
Celui-ci explique que plus de la moitié des participants encore inscrits provenaient des régions dont le code de couleur est maintenant orange et où les déplacements interrégionaux ne sont pas recommandés. Plusieurs athlètes ont aussi signalé leur inconfort à participer à l’événement, ou encore, ont confirmé leur absence. De 150 participants prévus initialement, ce n’est donc plus qu’une soixantaine qui était encore inscrite, un nombre qui continuait de s’effriter de jour en jour.
Rappelons que la course se présentait d’abord comme un événement international, avec des athlètes de six pays différents ainsi que de plusieurs autres provinces canadiennes.
« Nous souhaitons que cette compétition se déroule dans le plaisir et la camaraderie. C’était l’objectif principal visé avec le Big Wolf’s Backyard. Le plaisir, la joie du dépassement, le partage. Dans le contexte actuel, nous ne croyons plus que le plaisir sera au rendez-vous tel que nous le souhaiterions », tient à souligner l’instigateur.
L’organisation invite plutôt les participants à faire leur propre Big Wolf’s Backyard à la maison, cette fin de semaine. Chaque heure, à compter de 8 h ce samedi 26 septembre, une publication sera publiée sur la page Facebook de l’événement où les participants pourront partager leurs courses respectives de 6,706 km (en photos, cartes ou lien Strava).
Bien que la compétition restera amicale et non compétitive, sans aucun gagnant officiel, les organisateurs souhaitent que les participants puissent s’amuser à tester la formule du Big Wolf’s Backyard cette année.
Quant à la véritable édition du Big Wolf, les participants sont invités à se donner rendez-vous l’année prochaine, la fin de semaine initiale qu’aurait dû se tenir la course, soit celle du 17 juillet 2021, en souhaitant que la situation s’améliore au cours des prochains mois. Rivière-Ouelle demeurera le site de prédilection pour la prochaine édition. Les participants 2020 pourront être transférés à 2021 sans frais et sans devoir soumettre de nouveau leur candidature au comité de sélection.